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VIP-Blog de laloracorse2
laloracorse2@hotmail.fr

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  • Créé le : 24/01/2009 20:02
    Modifié : 04/11/2025 09:38

    Fille (69 ans)
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    Notre Dame de Lourdes

    11/02/2018 11:04

    Notre Dame de Lourdes


    'est sa fête : Notre-Dame de Lourdes

    Le 11 février 1858, près du village pyrénéen de Lourdes, une jeune femme serait apparue à Bernadette Soubirous, dans une grotte appelée Massabielle.

    Selon ses dires, la petite bergère assista dans les semaines qui suivirent à plusieurs apparitions du même type. Au cours de l'une d'elles, la Dame lui confia (en gascon) : « Que soy era immaculada councepciou » (« Je suis l'Immaculée Conception », c'est-à-dire épargnée par le péché originel dès sa conception à la différence des autres humains). La bergère rapporta ces mots à son curé sans savoir que le pape Pie IX avait proclamé quatre ans plus tôt le dogme de l'Immaculée Conception à propos de Marie, la mère du Christ.

    Les apparitions de la grotte miraculeuse stimulèrent la dévotion à Marie... et firent de Lourdes l'un des plus célèbres pèlerinages du monde.






    10 fevrier 1638

    10/02/2018 07:21

    10 fevrier 1638


    10 février 1638 : Louis XIII consacre la France à la Vierge
     

    Le 10 février 1638, alors que la reine Anne d'Autriche est enceinte pour la première fois après... 22 ans de mariage, le roi Louis XIII réalise son voeu de consacrer le royaume de France à la Vierge Marie. Il en sera pleinement récompensé puisque naîtra le 5 septembre suivant un garçon qui deviendra cinq ans plus tard Louis XIV.

    Depuis lors, le 15 août, fête de l'Assomption de la Vierge, est férié et chômé en France.

    10 février 1673 : Une ordonnance de Louis XIV étend le droit de régale
     

    Le 10 février 1673, par une ordonnance signée à Saint-Germain-en-Laye, le roi Louis XIV décide d'étendre le « droit de régale » à l'ensemble du royaume.

    Ce droit qui remonte au Moyen Âge permet au roi de percevoir les revenus des diocèses et des abbayes vacants en attendant qu'arrive un nouveau titulaire (« régale temporelle »). Il lui permet aussi de procéder aux nominations dans le diocèse ou l'abbaye en question « régale spirituelle ».

    De nombreux évêchés du Midi échappaient jusque-là à ce droit et le pape Innocent XI s'irrite de la volonté du roi, ou plutôt de son ministre Colbert, de le leur appliquer. Il condamne fermement la régale universelle et le conflit va déboucher dix ans plus tard sur une exacerbation du gallicanisme avec la Déclaration des Quatre Articles






    9 fevrier 1953.....naissance du livre de poche

    09/02/2018 08:19

    9 fevrier 1953.....naissance du livre de poche


    9 février 1953 : Naissance du Livre de Poche
     

    Le 9 février 1953, Henri Filipacchi, des éditions Hachette, publie à Paris les premiers titres d'une collection appelée à un grand avenir : Le Livre de Poche. Le n°1 est un roman de Pierre Benoît, Koenigsmark. Avec un prix trois ou quatre fois moindre que les livres conventionnels, les nouveaux livres au format de poche séduisent un public jeune et peu fortuné.

    Déjà, en 1905, les éditions Jules Tallandier avaient commercialisé des livres sous l'appellation « livre de poche » mais il ne s'agissait encore que de littérature de gare (petits romans populaires). La véritable naissance du format de poche remonte à la création par Allen Lane, en 1935, en Angleterre, des éditions Penguin. Dans le domaine francophone, on peut citer la collection Marabout, créée à Verviers (Belgique) en 1948.






    Jacqueline Auriol

    08/02/2018 06:27

    Jacqueline Auriol


    Après des études secondaires au lycée Blanche-de-Castille de Nantes1, elle se sent attirée vers l'art et histoire de l'art et s'inscrit à l'École du Louvre2. Elle prend son baptême de l'air à Grenoble à seize ans, sans conviction.

    En février 1938, elle épouse Paul Auriol (1918-1992), fils de Vincent Auriol (futur président de la IV République)2. En 1947, elle s'occupe de la décoration de certaines pièces du palais de l'Élysée après l'élection de son beau-père. Ancien diplômé de l'école libre des sciences politiques, cadre dans l'électricité, Paul Auriol travaille auprès de son père pendant son mandat présidentiel comme secrétaire général adjoint de la présidence de la République (1947-1954). Il continue sa carrière comme contrôleur général à EDF et à partir de 1962 secrétaire général du comité national français de la conférence mondiale de l'énergie.

    Par défi et par goût du sport, Jacqueline Auriol apprend à piloter sur un biplan Stampe et obtient ses brevets, premier et second degrés, en 1948. L'aviation devient alors une passion et elle passe à la voltige aérienne pour se perfectionner.

    Le 

     

    , elle est victime d'un terrible accident sur la Seine entre Meulan-en-Yvelines et Les Mureaux, alors qu'elle est copilote d'un prototype d'hydravion, un S.C.A.N. 30, construit par la Société de construction aéronavale. Lors de ce vol d'essai, l'appareil vola trop bas, et sa coque toucha l'eau brutalement. L'amphibie bascula, happé par l'eau, puis se retourna en ne laissant pas le temps à Paul Mingam, le pilote de la S.C.A.N., de réagir. Des trois passagers qui se trouvaient à bord (outre Mingam, il y avait aussi le PDG de S.C.A.N., Mr Guédon), Jacqueline Auriol fut la plus gravement blessée : elle a plusieurs fractures du crâne et est défigurée. Elle subit en deux ans une vingtaine d'interventions chirurgicales effectuées aux États-Unis3. Avec beaucoup d'obstination, elle se remet à piloter, passera ses brevets militaires, de vol à voile et d'hélicoptère.

    Le 

     

    , elle bat un record de vitesse féminin sur avion à réaction Mistral à la moyenne de 855,92 km/h. L’Américaine Jacqueline Cochran lui reprend ce record le 

     à 1 050 km/h4.

    Le 

     

    , Jacqueline Auriol est la première Européenne à franchir le mur du son, à bord d'un Mystère II.

    Le 

     

    , elle entre à l'École du personnel navigant d'essais et de réception (EPNER) et en sort le 

    , brevetée pilote d'essai. Elle intègre ensuite le très fermé Centre d'essais en vol de Brétigny-sur-Orge.

    Jacqueline Cochran, alors vice-présidente de la FAI, fait tout pour conserver son titre de "femme la plus rapide du monde", et annonce en mai 1955 que les records féminins seraient abolis le 1er juin de la même année ! Mais Jacqueline Auriol, très déterminée, reprend le record de vitesse avec 1 151 km/h sur Dassault Mystère IV le 

     

    , contraignant son « adversaire » à revenir sur sa décision5 !

    Le 7 avril 1961, aux commandes du T-38A-30-NO Talon (serial number 60-0551) l'Américaine porte le record à 1 262 km/h.

    Le 

     

    , Jacqueline Auriol porte le record (féminin) du 100 km en circuit fermé à 1 849 km/h sur Mirage III C puis le 

     à 2 038 km/h sur Mirage III R2. La société Dassault lui demande ensuite de réaliser des records sur l'avion d'affaires Mystère 206.

    Une ultime fois, le 1er juin 1964, l'Américaine portera ce record encore plus haut avec 2 097 km/h sur F-104G7.

    Une association des amis de Maryse Bastié fut formée, sous la présidence de l'aviatrice Jacqueline Auriol jusqu'à son décès.

    Jacqueline Auriol a reçu quatre fois le Harmon Trophy, l'une des plus prestigieuses récompenses aéronautiques, en 1951, en 1952, en 1955 et en 1956, a été lauréate du Prix Roland Peugeot de l'Académie des sports du plus bel exploit mécanique français de l'année en 19638, déjà lauréate du prix Henri-Deutsch de la Meurthe de l'Académie des sports en 1951, récompensant un fait sportif pouvant entraîner un « progrès matériel, scientifique ou moral pour l’humanité. »

    En 1966, Jacqueline Auriol bat un nouveau record entre la France et la Côte d'Ivoire. Une grande réception lui est réservée par le président Félix Houphouët-Boigny.






    Henri Bergson

    06/02/2018 07:28

    Henri Bergson


    Henri Bergson né le 18.10.1859 à Paris, d'un père Juif Polonais

    Grand philosophe

    Il fit de brillantes etudes au lycée Condorcet......

    Il reçut entre autre le prix nobel de litterature en 1928

    Et entra à l'academie francaise en 1914

    Il fut entre autre Maitre de conferences à l'Ecole Normale Superieure

    Puis obtint la Chaire de philosophie Grecque et latine 

    Au college de France.........

    Il put affirmer une dernière fois ses convictions à la fin de sa vie en renonçant à tous ses titres et honneurs plutôt que d’accepter l’exemption des lois antisémites imposées par le régime de Vichy. Bien que désirant se convertir au catholicisme, il y renonça par solidarité avec les autres Juifs. Marque de cette solidarité, plusieurs témoignages indiquent qu'il s'est fait porter par des proches jusqu'au commissariat de Passy, malgré sa maladie, afin de se faire recenser comme « israélite », alors qu'on l'en avait dispensé du fait de sa notoriété et qu'il avait rompu avec le judaïsme13. Théoriquement, il était cependant obligé de le faire, si ce n'était cette dispense, car les lois de Vichy ainsi que les ordonnances nazies définissaient (à Paris, la définition différait par exemple en Belgique) comme juive toute personne ayant au moins trois grands-parents de « race juive » ou ceux n'en ayant que deux mais étant mariés à un Juif ou une Juive14.

    Plaque Henri Bergson boulevard de Beauséjour.jpg
     

    Il s'exprime ainsi en 1937 : « Mes réflexions m’ont amené de plus en plus près du catholicisme, où je vois l’achèvement complet du judaïsme. Je me serais converti, si je n’avais vu se préparer depuis des années (en grande partie, hélas ! par la faute d’un certain nombre de Juifs entièrement dépourvus de sens moral) la formidable vague d’antisémitisme qui va déferler sur le monde. J’ai voulu rester parmi ceux qui seront demain des persécutés. Mais j’espère qu’un prêtre catholique voudra bien, si le cardinal-archevêque de Paris l’y autorise, venir dire des prières à mes obsèques. Au cas où cette autorisation ne serait pas accordée, il faudrait s’adresser à un rabbin, mais sans lui cacher et sans cacher à personne mon adhésion morale au catholicisme, ainsi que le désir exprimé par moi d’abord d’avoir les prières d’un prêtre catholique. »15

    Il meurt à son domicile du 47 boulevard de Beauséjour (16e arrondissement de Paris) le 

     

     à 81 ans. À la suite de sa demande, un prêtre catholique officie à son enterrement. Henri Bergson repose au cimetière de Garches, dans les Hauts-de-Seine.

     






    Branly Edouard

    05/02/2018 05:29

    Branly Edouard


    Désiré Eugène Édouard Branly, né à Amiens le 23 octobre 1844 et mort à Paris le 24 mars 1940, est un physicien et médecin français. Il découvre le principe de la radioconduction et celui de la télémécanique. Il est l'un des précurseurs de la radio






    Jean Jacques Rousseau repose là

    04/02/2018 16:52

    Jean Jacques Rousseau repose là







    Louis Braille

    04/02/2018 16:46

    Louis Braille


    Louis Braille est né le 4 janvier 1809 à Coupvray

    Son père etait bourrelier, Louis à trois ans a ete blessé

    Gravement à un oeil, mais l infection s'installa et il perdit la vue 

    Son père le fit entrer dans l institution royale des jeunes aveugles

     






    la tombe du Marechal Lannes

    04/02/2018 16:35

    la tombe du Marechal Lannes


     

    Le Marechal Lannes repose au Pantheon

    L'un des militaires les plus distingués qu'a eus la France ! Chez Lannes, le courage l'emportait d'abord sur l'esprit, mais l'esprit montait chaque jour pour se mettre en équilibre. Je l'avais pris pygmée, je l'ai perdu géant… Un des hommes au monde sur lesquels je pouvais le plus compter », Napoléon à Sainte-Hélène s'adressant à Las Cases, 1816. Il fut surnommé « le Roland de l'Armée »

     

    Né à Lectoure (Gers) le 10 avril 1769, volontaire au 2e bataillon du Gers, chef de brigade en 1793, général de brigade en 1796, général de division en 1799, maréchal d’Empire en 1804, Lannes, "le Roland de l’armée", comme on le surnomma, fut l’un des plus prestigieux chefs de guerre de l’Empire et aussi l’une de ses figures militaires les plus tragiques.


    Son ardeur au combat devint vite légendaire. « J'oublie tout, disait-il, lorsque le métier m'appelle. » Il égala par le courage physique un Murat ou un Ney. Les cicatrices dont son corps était couvert en témoignaient: le bras traversé par une balle à Banyuls en 1793, blessé d'un coup de feu à Governolo en 1796, déchiré par trois coups de feu à Arcole, atteint d'un coup de feu à la tête à l'assaut de Saint-Jean-d'Acre en 1799, blessé à la jambe à Aboukir, à nouveau le corps troué d'une balle à Pultusk en 1806, il revêtit encore sa grande tenue, avec toutes ses décorations, pour prendre part à la bataille d'Essling où il devait mourir, disant: « Il faut que tous les officiers paraissent sur le champ de bataille, aux yeux du soldat, comme s'ils étaient à la noce. »
     
    A la noce? Il y était de moins en moins sur les champs de bataille. Obéissant aux ordres qui lui firent incendier le village de Binasco et participer à la répression de la révolte d'Arqueta lors de la première campagne d'Italie, il avait exprimé son dégoût. Au lendemain d'Austerlitz, il écrivit à sa femme: « Nous avons tout culbuté, c'est-à-dire tout tué ou pris: on n'a jamais vu un carnage pareil. » Puis, en 1808, menant le siège de Saragosse: « Quel métier que celui que nous faisons ici! Saragosse ne sera bientôt plus qu'un tas de ruines. » Enfin, à la veille de sa mort: « Je crains la guerre, le premier bruit de guerre me fait frissonner […]. On étourdit les hommes pour mieux les mener à la mort. »

     

    Indigné par des guerres dont il ne voyait plus la fin, il resta longtemps fasciné par le chef auquel avait permis d'étendre sa clientèle militaire lors du coup d'État du 18 Brumaire. Il fut souvent mal payé en retour par celui à qui il vouait un véritable culte. Napoléon dira de lui à Sainte-Hélène: « Chez Lannes, le courage l'emportait d'abord sur l'esprit; mais l'esprit montait chaque jour pour se mettre en équilibre; je l'avais pris pygmée, je l'ai perdu géant. » Jugement injuste, car Lannes n'avait pas attendu la pédagogie de Napoléon pour se révéler bon chef de guerre, la victoire de Montebello en témoigne.
     
    Ingratitude aussi de Bonaparte à l'égard du chef de sa Garde consulaire qui, ayant engagé sur un ordre verbal une dépense de 300 000 francs, dut la rembourser, lui qui n'avait pas d'argent. Pour y parvenir, il fit, ministre plénipotentiaire au Portugal, une manoeuvre à d'autres accoutumée: un négociant put, par son aide, faire entrer en franchise des marchandises sans payer les droits élevés. Masséna en avait fait bien d'autres sans être sanctionné, comme lui, par un rappel à Paris en 1803.
    « Voulez-vous que je vous dise, dira Lannes au retour d'Espagne, ce foutu bougre de Bonaparte nous y fera tous passer! » Napoléon se plaindra qu'au moment de trépasser, le maréchal l'ait nommé « comme les athées nomment Dieu quand ils arrivent à l'article de la mort ».

    La mort de Lannes rappelle celle des tragédies à l'ancienne: au soir d'Essling, parcourant le champ de bataille avec son ami le général Rouzet, Lannes le vit s'abattre à ses pieds, frappé d'un coup de feu. Il s'enfuit, voulant échapper à la vue de ce cadavre. Mais les soldats le transportèrent devant lui, le faisant s'écrier: « Ah, cet affreux spectacle me poursuivra donc toujours? » Il s'accota à un fossé, se cachant les yeux pour ne plus rien voir, et ce fut là qu'un boulet lui traversa le genou. Opéré par Larrey, il agonisa six jours, appelant, maudissant, dirent certains, l'Empereur qui ne vint que pour recueillir ses dernières paroles, le 31 mai 1809. L'Empereur écrivit à la maréchale qu'il n'aimait guère, lui disant prendre part à sa peine. La maréchale ne le crut pas et se mura dans le silence.
     

     






    Hoche

    04/02/2018 16:32

    Hoche


    Avant la Révolution : garde-française[modifier | modifier le code]

    À 14 ans, il est reçu aide-surnuméraire dans les écuries royales. Devenu orphelin, il bénéficie de l'aide que lui offre une de ses tantes, fruitière à Versailles, et achète quelques livres avec lesquels il fait lui-même sa première éducation. Consacrant le jour à son travail, il emploie une partie de la nuit à étudier. À 16 ans, le 19 octobre 1784, il s'engage comme soldat, il est admis comme simple fusilier dans les Gardes-Françaises dans la compagnie Colonelle le 23 novembre 1785, il est grenadier de la compagnie de d'Artaignan et le 16 mai 1789, il obtient le grade de caporal des grenadiers de Daucourt1. Il ne tarde pas à attirer l'attention de ses chefs, par la régularité de ses mœurs, son application à la lecture et sa prodigieuse activité.

    Soldat de la Révolution française[modifier | modifier le code]

    Il est présent au licenciement du régiment le 31 août 1789 (réforme), il s’engage avec le grade de sergent dans la garde nationale soldée de la ville de Paris, 1re division, 1er bataillon1. Il prend part à la marche sur Versailles dans les journées des 5 et 6 octobre 17892.

     
    Statue de Lazare Hoche, sur la place Hoche à Versailles.

    Le 1er janvier 1792, il obtient le grade d'adjudant sous-officier au 104e régiment d'infanterie1. Par le ministre de la Guerre Joseph Servan, il passe le 18 mai 1792, lieutenant au sein au régiment de Rouergue à Thionville 1. Le 1er septembre 1792, il gagne ses galons de capitaine, par son rang d'ancienneté. Il commande une partie de l'infanterie et de la cavalerie à l'armée des Ardennes pendant la campagne d'hiver de 1792-17931. Il est à la défense de Thionville en octobre 1792, au siège de Namur en novembre et à celui de Maëstricht en février 17932.

    Il est chargé de l'intendance à l'armée des Ardennes. Le 3 mars 1793, il est aide de camp du général Le Veneur1 (alias Leveneur), dont il bénéficie des conseils, qui est son oncle de lait3 et devient son mentor. Au siège de Thionville, à la bataille de Neerwinden, où il est blessé le 18 mars 1793, comme à Pellenberg2, il donne des preuves éclatantes de sa capacité et de sa bravoure.

    Après la trahison du général Charles-François Dumouriez, avril-mai 1793, il est rappelé à Paris pour expliquer la situation, Hoche prend la défense de son général, devant le premier Comité de salut public, il expose un plan de campagne si bien conçu que Lazare Carnot se serait écrié : « Voilà un officier subalterne d'un bien grand mérite. » Le Comité tout entier se joint à Carnot pour admirer tant de savoir dans un jeune homme, et cela va donner à Hoche la possibilité d'une ascension rapide. Le 15 mai 1793, grâce à l'appui de Lazare Carnot, qui fait de lui le plus grand cas, il est nommé adjudant-général chef de bataillon employé à l'armée du Nord1.

    Incarcération de Hoche (du 8 au 16 août 1793)[modifier | modifier le code]

    Pour avoir défendu le général Alexis Le Veneur de Tillières incriminé, il est mis en état d'arrestation à Saint-Quentin le 8 août 1793, traduit devant le tribunal criminel de Douai et acquitté le 16 août suivant.

    Lettre de Hoche au Citoyen Audouin, adjoint au ministre de la Guerre à Paris :

    « St-Quentin le 8 août l'an 2e de la République. (1793)

    Vous apprendrez Citoyen, avec surprise, que je suis en état d'arrestation et conduit au Tribunal révolutionnaire de Douai pour avoir dit que Pitt soudoyait des hommes dans notre armée, et que, si Cobourg y donnait des ordres, elle n'irait pas plus mal. La preuve que l'on a reconnu que je disais vrai, c'est que le Conseil exécutif la senti et que, par la suite il a destitué une grande partie des généraux suspects. C'est ainsi qu'en se heurtant les patriotes de divisent. J'étais au porte de l'honneur j'en suis tiré pour un propos que vous avoueriez. Je vous prie d'attester mon civisme aux commissaires de la Convention à Cambraÿ et de me recommander au citoyen Bouchotte ? Tout à vous et à mon pays. signé : L'adjt général L. Hoche »4,5.

     






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