| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://laloracorse2.vip-blog.com


partage et amitie
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

partage et amitie

VIP-Blog de laloracorse2
laloracorse2@hotmail.fr

  • 3269 articles publiés dans cette catégorie
  • 31165 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 24/01/2009 20:02
    Modifié : 16/07/2025 19:09

    Fille (69 ans)
    Origine : aufildesmots
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ LEGERETE ] [ BIENFAITS ] [ MES LECTURES ] [ MES PHOTOS PREFEREES ] [ RECETTES ET TRUCS ] [ AMITIES ] [ CHANSONS ET FILMS QUE J AIME ] [ VOYAGES, VOYAGES DANS L HISTOIRE ] [ SOURIRES ] [ POEMES ET CITATIONS ] [ LA VIE LA FAMILLE ] [ MES PETITS ARTICLES ]

    Louis Braille

    04/02/2018 16:46

    Louis Braille


    Louis Braille est né le 4 janvier 1809 à Coupvray

    Son père etait bourrelier, Louis à trois ans a ete blessé

    Gravement à un oeil, mais l infection s'installa et il perdit la vue 

    Son père le fit entrer dans l institution royale des jeunes aveugles

     






    la tombe du Marechal Lannes

    04/02/2018 16:35

    la tombe du Marechal Lannes


     

    Le Marechal Lannes repose au Pantheon

    L'un des militaires les plus distingués qu'a eus la France ! Chez Lannes, le courage l'emportait d'abord sur l'esprit, mais l'esprit montait chaque jour pour se mettre en équilibre. Je l'avais pris pygmée, je l'ai perdu géant… Un des hommes au monde sur lesquels je pouvais le plus compter », Napoléon à Sainte-Hélène s'adressant à Las Cases, 1816. Il fut surnommé « le Roland de l'Armée »

     

    Né à Lectoure (Gers) le 10 avril 1769, volontaire au 2e bataillon du Gers, chef de brigade en 1793, général de brigade en 1796, général de division en 1799, maréchal d’Empire en 1804, Lannes, "le Roland de l’armée", comme on le surnomma, fut l’un des plus prestigieux chefs de guerre de l’Empire et aussi l’une de ses figures militaires les plus tragiques.


    Son ardeur au combat devint vite légendaire. « J'oublie tout, disait-il, lorsque le métier m'appelle. » Il égala par le courage physique un Murat ou un Ney. Les cicatrices dont son corps était couvert en témoignaient: le bras traversé par une balle à Banyuls en 1793, blessé d'un coup de feu à Governolo en 1796, déchiré par trois coups de feu à Arcole, atteint d'un coup de feu à la tête à l'assaut de Saint-Jean-d'Acre en 1799, blessé à la jambe à Aboukir, à nouveau le corps troué d'une balle à Pultusk en 1806, il revêtit encore sa grande tenue, avec toutes ses décorations, pour prendre part à la bataille d'Essling où il devait mourir, disant: « Il faut que tous les officiers paraissent sur le champ de bataille, aux yeux du soldat, comme s'ils étaient à la noce. »
     
    A la noce? Il y était de moins en moins sur les champs de bataille. Obéissant aux ordres qui lui firent incendier le village de Binasco et participer à la répression de la révolte d'Arqueta lors de la première campagne d'Italie, il avait exprimé son dégoût. Au lendemain d'Austerlitz, il écrivit à sa femme: « Nous avons tout culbuté, c'est-à-dire tout tué ou pris: on n'a jamais vu un carnage pareil. » Puis, en 1808, menant le siège de Saragosse: « Quel métier que celui que nous faisons ici! Saragosse ne sera bientôt plus qu'un tas de ruines. » Enfin, à la veille de sa mort: « Je crains la guerre, le premier bruit de guerre me fait frissonner […]. On étourdit les hommes pour mieux les mener à la mort. »

     

    Indigné par des guerres dont il ne voyait plus la fin, il resta longtemps fasciné par le chef auquel avait permis d'étendre sa clientèle militaire lors du coup d'État du 18 Brumaire. Il fut souvent mal payé en retour par celui à qui il vouait un véritable culte. Napoléon dira de lui à Sainte-Hélène: « Chez Lannes, le courage l'emportait d'abord sur l'esprit; mais l'esprit montait chaque jour pour se mettre en équilibre; je l'avais pris pygmée, je l'ai perdu géant. » Jugement injuste, car Lannes n'avait pas attendu la pédagogie de Napoléon pour se révéler bon chef de guerre, la victoire de Montebello en témoigne.
     
    Ingratitude aussi de Bonaparte à l'égard du chef de sa Garde consulaire qui, ayant engagé sur un ordre verbal une dépense de 300 000 francs, dut la rembourser, lui qui n'avait pas d'argent. Pour y parvenir, il fit, ministre plénipotentiaire au Portugal, une manoeuvre à d'autres accoutumée: un négociant put, par son aide, faire entrer en franchise des marchandises sans payer les droits élevés. Masséna en avait fait bien d'autres sans être sanctionné, comme lui, par un rappel à Paris en 1803.
    « Voulez-vous que je vous dise, dira Lannes au retour d'Espagne, ce foutu bougre de Bonaparte nous y fera tous passer! » Napoléon se plaindra qu'au moment de trépasser, le maréchal l'ait nommé « comme les athées nomment Dieu quand ils arrivent à l'article de la mort ».

    La mort de Lannes rappelle celle des tragédies à l'ancienne: au soir d'Essling, parcourant le champ de bataille avec son ami le général Rouzet, Lannes le vit s'abattre à ses pieds, frappé d'un coup de feu. Il s'enfuit, voulant échapper à la vue de ce cadavre. Mais les soldats le transportèrent devant lui, le faisant s'écrier: « Ah, cet affreux spectacle me poursuivra donc toujours? » Il s'accota à un fossé, se cachant les yeux pour ne plus rien voir, et ce fut là qu'un boulet lui traversa le genou. Opéré par Larrey, il agonisa six jours, appelant, maudissant, dirent certains, l'Empereur qui ne vint que pour recueillir ses dernières paroles, le 31 mai 1809. L'Empereur écrivit à la maréchale qu'il n'aimait guère, lui disant prendre part à sa peine. La maréchale ne le crut pas et se mura dans le silence.
     

     






    Hoche

    04/02/2018 16:32

    Hoche


    Avant la Révolution : garde-française[modifier | modifier le code]

    À 14 ans, il est reçu aide-surnuméraire dans les écuries royales. Devenu orphelin, il bénéficie de l'aide que lui offre une de ses tantes, fruitière à Versailles, et achète quelques livres avec lesquels il fait lui-même sa première éducation. Consacrant le jour à son travail, il emploie une partie de la nuit à étudier. À 16 ans, le 19 octobre 1784, il s'engage comme soldat, il est admis comme simple fusilier dans les Gardes-Françaises dans la compagnie Colonelle le 23 novembre 1785, il est grenadier de la compagnie de d'Artaignan et le 16 mai 1789, il obtient le grade de caporal des grenadiers de Daucourt1. Il ne tarde pas à attirer l'attention de ses chefs, par la régularité de ses mœurs, son application à la lecture et sa prodigieuse activité.

    Soldat de la Révolution française[modifier | modifier le code]

    Il est présent au licenciement du régiment le 31 août 1789 (réforme), il s’engage avec le grade de sergent dans la garde nationale soldée de la ville de Paris, 1re division, 1er bataillon1. Il prend part à la marche sur Versailles dans les journées des 5 et 6 octobre 17892.

     
    Statue de Lazare Hoche, sur la place Hoche à Versailles.

    Le 1er janvier 1792, il obtient le grade d'adjudant sous-officier au 104e régiment d'infanterie1. Par le ministre de la Guerre Joseph Servan, il passe le 18 mai 1792, lieutenant au sein au régiment de Rouergue à Thionville 1. Le 1er septembre 1792, il gagne ses galons de capitaine, par son rang d'ancienneté. Il commande une partie de l'infanterie et de la cavalerie à l'armée des Ardennes pendant la campagne d'hiver de 1792-17931. Il est à la défense de Thionville en octobre 1792, au siège de Namur en novembre et à celui de Maëstricht en février 17932.

    Il est chargé de l'intendance à l'armée des Ardennes. Le 3 mars 1793, il est aide de camp du général Le Veneur1 (alias Leveneur), dont il bénéficie des conseils, qui est son oncle de lait3 et devient son mentor. Au siège de Thionville, à la bataille de Neerwinden, où il est blessé le 18 mars 1793, comme à Pellenberg2, il donne des preuves éclatantes de sa capacité et de sa bravoure.

    Après la trahison du général Charles-François Dumouriez, avril-mai 1793, il est rappelé à Paris pour expliquer la situation, Hoche prend la défense de son général, devant le premier Comité de salut public, il expose un plan de campagne si bien conçu que Lazare Carnot se serait écrié : « Voilà un officier subalterne d'un bien grand mérite. » Le Comité tout entier se joint à Carnot pour admirer tant de savoir dans un jeune homme, et cela va donner à Hoche la possibilité d'une ascension rapide. Le 15 mai 1793, grâce à l'appui de Lazare Carnot, qui fait de lui le plus grand cas, il est nommé adjudant-général chef de bataillon employé à l'armée du Nord1.

    Incarcération de Hoche (du 8 au 16 août 1793)[modifier | modifier le code]

    Pour avoir défendu le général Alexis Le Veneur de Tillières incriminé, il est mis en état d'arrestation à Saint-Quentin le 8 août 1793, traduit devant le tribunal criminel de Douai et acquitté le 16 août suivant.

    Lettre de Hoche au Citoyen Audouin, adjoint au ministre de la Guerre à Paris :

    « St-Quentin le 8 août l'an 2e de la République. (1793)

    Vous apprendrez Citoyen, avec surprise, que je suis en état d'arrestation et conduit au Tribunal révolutionnaire de Douai pour avoir dit que Pitt soudoyait des hommes dans notre armée, et que, si Cobourg y donnait des ordres, elle n'irait pas plus mal. La preuve que l'on a reconnu que je disais vrai, c'est que le Conseil exécutif la senti et que, par la suite il a destitué une grande partie des généraux suspects. C'est ainsi qu'en se heurtant les patriotes de divisent. J'étais au porte de l'honneur j'en suis tiré pour un propos que vous avoueriez. Je vous prie d'attester mon civisme aux commissaires de la Convention à Cambraÿ et de me recommander au citoyen Bouchotte ? Tout à vous et à mon pays. signé : L'adjt général L. Hoche »4,5.

     






    Denis Diderot au Pantheon

    04/02/2018 16:28

    Denis Diderot au Pantheon







    sa naissance

    04/02/2018 09:31

    sa naissance


    Pierre de Marivaux
    4 février 1688 à Riom (France) - 12 février 1763 à Paris (France)

    Biographie Pierre de Marivaux

    Qui connaît Pierre Carlet ? Étouffé par la personnalité exubérante de Beaumarchais, né 44 ans plus tard, ce discret dramaturge plus connu sous le pseudonyme Marivaux aurait bien pu disparaître des annales du théâtre du XVIIIe siècle.

    C'était sans compter la perspicacité de son regard et la vivacité de sa plume qui font encore de lui l’un des auteurs les plus joués par la Comédie-Française !...






    la chandeleur

    02/02/2018 07:21

    la chandeleur


    C'est sa fête : La Chandeleur

    Présentation au Temple (Ambrogio Lorenzetti, XIVe siècle, Offices, Florence)La Chandeleur commémore le 2 février la Présentation de Jésus au Temple, à Jérusalem, 40 jours après sa naissance. Ce faisant, ses parents se conformaient à une coutume hébraïque qui voulait que les premiers-nés fussent consacrés au Seigneur.

    La Chandeleur était autrefois appelée « Purification de la Vierge Marie » car elle rappelait le rituel des relevailles consécutives à tout accouchement.

    L'évangéliste Luc raconte qu'à cette occasion, un vieil homme, Syméon, et une prophétesse, Anne, reconnurent dans l'enfant l'« Oint du Seigneur » (le Christ) :
    « Syméon prit l'enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s'en aller dans la paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d'Israël ton peuple » (Luc, 2, 22-40). Le chant de grâces de Syméon est repris tous les soirs par les ecclésiastiques du monde entier.

    La fête de la Chandeleur, ou fête des chandelles, débutait à Rome, au VIIe siècle, par une procession du Forum à la basilique Sainte-Marie-Majeure. Les fidèles se mettaient en route avant l'aurore, en portant des chandelles, d'où le nom de la fête. Ils allaient de cette manière symbolique à la rencontre de Dieu.

    Les crêpes de la ChandeleurD'aucuns pensent que cette fête chrétienne aurait pris la place des Lupercales romaines vers le Ve siècle. Les fêtes en l'honneur de Lupercus, ou Pan, dieu de la fécondité, donnaient lieu à une procession aux flambeaux aux alentours du 15 février.

    Selon une autre interprétation, la Chandeleur se serait substituée à une fête en l'honneur de Proserpine, aliasPerséphone, déesse des moissons et de la fécondité. Cette fête se célébrait à la lumière des torches et autour d'une galette de céréales. Aujourd'hui encore, le 2 février, il est de tradition de faire des crêpes.

    En Amérique du nord, une légende probablement d'origine amérindienne fait du 2 février le jour de la Marmotte (Ground Hog Day). À midi, ce jour-là, la marmotte sort de son terrier et inspecte les environs. Si elle aperçoit son ombre et juge que le ciel est suffisamment ensoleillé, elle flâne et prend son temps avant de retourner se mettre à l'abri pour tout juste six semaines, autrement dit jusqu'à l'arrivée du printemps. Si elle trouve le ciel trop couvert et rentre rapidement à l'abri, c'est le signe d'une arrivée plus tardive du printemps.

     





    1er fevrier 1954 (je n etais pas née) mais ma maman a du avoir tres froid

    01/02/2018 06:11

    1er fevrier 1954 (je n etais pas née) mais ma maman a du avoir tres froid


    er février 1954 : Appel de l'abbé Pierre
     

    Le 1er février 1954, lors d'un hiver désastreux qui a occasionné de grandes souffrances parmi les sans-abri de France, l'abbé Pierre lance un appel pathétique sur les ondes et dans les journaux : « Mes amis, au secours ! Une femme vient de mourir gelée, cette nuit, à 3 heures, sur le trottoir du boulevard Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant-hier, on l'avait expulsée... » Les Français se mobilisent.

    C'est le début d'un immense mouvement charitable, l'« insurrection de la bonté ». Il va conduire le gouvernement à intensifier ses efforts pour la construction de nouveaux logements.

    De « Monsieur Vincent » à l'« abbé Pierre »

    Appel de l'abbé Pierre le 1er février 1954De son vrai nom Henri Grouès, l'abbé Pierre (1912-2007) entre dans la Résistance et devient député à la Libération.

    En 1949, il crée près de Paris la communauté des Compagnons d'Emmaüs : les déshérités qu'elle accueille ne se contentent pas de la charité publique mais se prennent en charge, construisant de leurs mains des maisons, se faisant chiffonniers et retrouvant leur dignité à travers la solidarité et le travail.

    À trois siècles de distance, l'abbé Pierre est comme Saint Vincent de Paul une lumière dans un monde ténébreux, en manque de repères spirituels. Comme « Monsieur Vincent », il a servi les humbles et partagé leurs souffrances, côtoyé les puissants... et su mobiliser les médias pour ses bonnes oeuvres.

     






    inauguration du centre pompidou

    31/01/2018 06:51

    inauguration du centre pompidou


    31 janvier 1977 : Inauguration du Centre Pompidou
     

    Le 31 janvier 1977, le centre culturel Georges Pompidou est inauguré par le président Giscard d'Estaing. Par sa conception architecturale novatrice et la réunion en un même lieu de différentes activités culturelles (bibliothèques, expositions temporaires, musée d'art moderne), il bouleverse l'image traditionnelle de la Culture.






    30 janvier 1735 devinez quoi, je pouvais pas le rater

    30/01/2018 06:56

    30 janvier 1735 devinez quoi, je pouvais pas le rater


    30 janvier 1735

    Déclaration d'indépendance des Corses


    Le 30 janvier 1735, une assemblée corse, la Consulta d'Orezza, rejette la domination de Gênes, qui remonte à la bataille de La Meloria (1284), et donne à l'île une Constitution écrite (la première de l'Histoire).

    L'initiative attire l'attention des élites de Paris mais aussi des Treize Colonies anglaises qui, à leur tour, proclameront unilatéralement leur indépendance sous le nom des États-Unis...

    La République de Gênes tente de reconquérir l'île. C'est le début d'une « Guerre de quarante ans ». Mais sans s'en douter, les insurgés travaillent pour la France qui ambitionne de prendre pied sur l'île et d'en chasser les Génois.

    De l'insurrection à l'indépendance unilatérale

    Une première révolte a éclaté le 27 décembre 1729 lorsqu'un magistrat prétend soutirer une pièce à un berger du village du Borziu sous prétexte d'impôt. Un an plus tard, la révolte paysanne est relayée par les notables.

    Gênes obtient des renforts de l'empereur allemand tandis que les Corses entament la guerre avec un énergique général, Giacinto - ou Hyacinthe - Paoli (le père du futur dirigeant corse Pasquale Paoli).

    C'est alors que se réunissent à Orezza les délégués de toute l'île. Ils rejettent officiellement la souveraineté génoise et se donnent une Constitution du Royaume de Corse d'avant-garde, qui introduit la souveraineté du peuple et la séparation des pouvoirs. 

    L'assemblée se met par ailleurs en quête d'un monarque et offre la couronne de Corse au roi d'Espagne mais celui-ci la refuse. Plus volontaire, un personnage surgi de nulle part, le baron Théodore de Neuhoff, postule pour la couronne et offre sa fortune en contrepartie mais sa tentative fait long feu.

    Un rêve avorté

    Seuls les Anglais se montrent intéressés à aider les insurgés. C'est qu'ils veulent tirer parti de l'insurrection pour prendre pied en Corse.

    Le Premier ministre français, le cardinal Fleury, riposte en apportant son aide aux Gênois en 1737.

    Battus, les insurgés reprennent les armes en 1755 sous la conduite de Pasquale - ou Pascal - Paoli (30 ans), qui prend la relève de son père et soulève le peuple. Il crée un « Royaume de Corse » indépendant... et sans roi. Lui-même est proclamé général en chef à la consulta.

    Lasse de la guerre, Gênes cède « provisoirement » ses droits sur la Corse à la France par le traité de Versailles du 15 mai 1768.

    Les Chroniques d'Herodote.net
     
     

     






    L'Academie Francaise

    29/01/2018 06:57

    L'Academie Francaise


    29 janvier 1635

    Fondation de l'Académie française

     

    Le 29 janvier 1635, le cardinal de Richelieu signe les lettres patentes qui fondent l'Académie française.

    Son nom vient du jardin Akademos, à Athènes, où Platon enseignait la philosophie. Sous la Renaissance, on a pris l'habitude d'appeler ainsi les sociétés savantes où l'on discutait de belles lettres et de sciences.

    L'Académie française est issue d'un petit groupe d'érudits qui se réunissaient chaque semaine chez l'un d'eux, Valentin Conrart, secrétaire du roi Louis XIII.

    L'habile cardinal de Richelieu a l'idée de s'attacher ces gens de lettres et de les mettre au service de l'État et de la monarchie. Il invite les érudits à se constituer en corps officiel et leur accorde sa protection.

    La nouvelle Académie se voue à la langue française. L'article 24 de ses statuts énonce : «La principale fonction de l'Académie sera de travailler avec tout le soin et toute la diligence possibles à donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente et capable de traiter les arts et la science...»

    Valentin Conrart, premier secrétaire perpétuel de l'Académie, avalise la pratique des réunions hebdomadaires destinées à la rédaction d'un Dictionnaire de la langue française.

    En 1638, Richelieu, soucieux de faire taire les railleries autour de la jeune Académie, l'engage à donner son sentiment sur la tragédie du «Cid», qu'a donnée Corneille un an plus tôt. C'est l'unique fois où l'Académie s'érige en arbitre littéraire.

    Des traditions solides... et dépassées

    L'Académie française et les autres académies royales sont supprimées par la Convention révolutionnaire en 1795 et remplacées par un Institut national des sciences et des arts.

    Le Premier consul Napoléon Bonaparte puis Louis XVIII et Louis-Philippe ont rétabli l'Académie française dans sa plénitude. Cinq académies figurent aujourd'hui dans l'Institut de France.

    L'Institut siège depuis 1805 sous la fameuse Coupole du collège des Quatre-Nations, érigé par Louis Le Vau sur les bords de la Seine. Les académiciens sont cooptés par leurs pairs et demeurent en fonction jusqu'à leur mort.

    L'Académie a une activité de pure forme et son travail sur le fameux Dictionnaire suscite le sourire. Certains s'interrogent sur l'opportunité de lui donner plus d'initiative dans la promotion de la langue française.

    La moindre des choses serait que les nouveaux élus aient un statut actif pendant quelques années durant lesquelles ils pourraient travailler et faire des propositions. Au terme de ce mandat, ils seraient invités à se cantonner dans un rôle honorifique et laisseraient le travail à de plus jeunes.






    Début | Page précédente | 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact laloracorse2 ]

    © VIP Blog - Signaler un abus