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les femmes devant l horreur
27/02/2018 06:36
27 février-6 mars 1943
Cri d'amour dans la Rosenstraße
Le 27 février 1943, les nazis raflent à Berlin les derniers Juifs de la ville. Il s'agit pour la plupart d'hommes mariés à des femmes de souche « aryenne », autrement dit « de bonne race allemande ». Plusieurs centaines attendent dans un bâtiment de la Rosenstraße d'être déportés dans un camp d'extermination. Mais leurs épouses vont obliger le pouvoir à faire marche arrière.
Des Allemands face à l'horreur
À la veille de ce drame, la plupart des Juifs encore présents en Allemagne au début de la Seconde Guerre mondiale ont déjà été déportés dans des camps d'extermination dans le cadre de la Solution finale mise au point par Hitler et ses sbires.
Seuls ceux mariés à des non-juifs - en allemand, les Mischehen - ont été provisoirement épargnés, ainsi que leurs enfants - les Mischlinge. Ils sont au nombre de 20 000 environ, dont la moitié à Berlin. Dépouillés de l'essentiel de leurs biens et chassés de leur profession, ils sont astreints aux travaux forcés dans des usines de munitions.
L'administration nazie est gênée dans son oeuvre de mort par les liens affectifs qui rattachent ces juifs aux autres Allemands. Elle s'efforce par tous les moyens de persuader les conjoints non-juifs de demander le divorce et dans ce cas, le conjoint délaissé ne tarde pas à être arrêté et déporté. Mais relativement rares sont les couples qui acceptent ainsi de se séparer.
Cependant, le 31 janvier 1943, les Allemands essuient à Stalingrad une cuisante défaite et le 13 février 1943, à Berlin, devant une foule hystérique, le ministre de la propagande Joseph Goebbels proclame la « guerre totale ». Pour Hitler, il n'est plus question d'épargner les derniers Juifs allemands. C'est ainsi que le 27 février 1943, la garde personnelle du Führer arrête les Juifs sur leurs lieux de travail par centaines cependant que des hommes de la sinistre Gestapo (la police politique) se rendent à leur domicile et enlèvent leurs enfants.
Les malheureux sont conduits dans cinq centres de détention au coeur de Berlin. L'un d'eux est situé au 2-4, Rosenstraße (rue des roses). Le bâtiment est à deux pas de la Burgstraße, une rue où se trouve le quartier général de la Gestapo pour les affaires juives.
Le soir, des épouses constatant l'absence de leur mari se rendent devant le centre de détention. Le lendemain, un dimanche, jour chômé, elles sont plusieurs centaines qui crient devant la façade: « Rendez-nous nos maris ! » Leurs maris, à travers les murs, leur répondent comme ils peuvent. La manifestation se prolonge les jours suivants et même après la tombée de la nuit, malgré un froid glacial. Elle rassemble par moments plusieurs centaines de personnes dont quelques hommes.
La Gestapo, rapidement alertée, fait intervenir la police. Mais à peine les policiers dispersent-ils le groupe que celui-ci se reconstitue aussitôt. Une brigade SS est appelée à la rescousse. Elle menace de mitrailler les manifestants mais la détermination de ceux-ci ne faiblit pas. Enfin, au bout d'une semaine, Goebbels, de guerre lasse, se résigne à suspendre la rafle des Mischehen. À partir du 6 mars, les détenus du 2-4, Rosenstraße sont autorisés à rejoindre leur famille.

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saint Nestor
26/02/2018 06:38
Évêque en Pamphilie, au sud de la Turquie actuelle, le saint du jour fut arrêté à l'occasion d'une persécution ordonnée par l'empereur Dèce, en 251. «Puisque tu préfères un homme crucifié à nos divins empereurs, toi aussi tu mourras sur une croix», décréta le gouverneur.
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La tour Saint jacques
24/02/2018 20:26
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Notre Dame de Paris
24/02/2018 16:45
prise de la voiture de Vanessa
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21 fevrier 1916 Ne pas oublier
21/02/2018 05:43
21 février 1916
L'enfer de Verdun
Aucune bataille n'a autant marqué la mémoire des Français que celle de Verdun.
Tout d'un coup, un déluge de feu
Tout commence le 21 février 1916, à 7h30, avec un déluge de feu sur les forts de Verdun et sur les tranchées où sont tapies trois divisions françaises.
Puis, l'infanterie allemande monte à l'assaut. Certains soldats sont équipés d'un lance-flammes. C'est la première fois qu'est employée cette arme terrible.
Le chef d'état-major allemand Erich von Falkenhayn veut de cette façon en finir avec une guerre de positions qui dure depuis la bataille de la Marne, dix-huit mois plus tôt. Il projette de « saigner l'armée française » par des bombardements intensifs.
Tenir !
Les poilus résistent héroïquement au premier choc, en dépit de la perte du fort de Douaumont. Très vite, le commandant de la IIe Armée, Philippe Pétain, organise la riposte. Il met en place une liaison avec Bar-le-Duc, à l'arrière. En 24 heures, 6.000 camions montent vers le front en empruntant cette «Voie sacrée». L'assaut allemand est repoussé et la brèche colmatée.
Les attaques vont se renouveler pendant plusieurs mois, sans cesse contenues.
« On les aura ! » écrit Pétain le 10 avril... Le général obtient, à défaut de renforts, que ses troupes soient régulièrement renouvelées. C'est ainsi que, par rotations successives (la « noria »), toute l'armée française va connaître l'enfer de Verdun !
La contre-offensive
Le 22 juin apparaissent les terrifiantes bombes au phosgène, un gaz mortel en quelques secondes. Le 1er juillet survient enfin l'offensive de la Somme. Destinée à soulager le front de Verdun, elle va se solder par un échec sanglant.

La bataille de Verdun prend fin le 15 décembre 1916. Elle aura duré dix mois. L'avantage reste aux Français mais c'est au prix d'une terrible hécatombe. Verdun est le tournant de la Grande Guerre et pour les poilus, le symbole de toutes ses horreurs.
Du côté français, le total des pertes (morts, blessés et disparus) est évalué à 379 000 et du côté allemand, à 335 000. Cela fait de la bataille de Verdun la plus meurtrière des batailles de la Grande Guerre de 1914-1918 après l'offensive de la Somme.
Verdun, quarante ans après (doc : INA)
À l'occasion du 40e anniversaire de la bataille de Verdun, rétrospective en images des assauts militaires à Verdun et à Douaumont. Commentaires sur des images d'illustration des différents sites, de la visite des lieux par les survivants du conflit et des cimetières de soldats. Extrait du discours du président René Coty, lors de la cérémonie commémorative du 28 juin 1956... Ce que fut, il y a 40 ans, la bataille de Verdun, doc INA)).
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naissance de John Glenn
20/02/2018 06:16
20 février 1962 : John Glenn fait le tour de la Terre
Le 20 février 1962, John Glenn est le premier cosmonaute américain à faire le tour de la Terre. Il accomplit son vol en 4h56 à bord de la capsule Mercury. C'est un pas significatif des Américains dans la course à l'espace inaugurée par les Soviétiques.
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Louis XVI, ses actions
19/02/2018 13:05
Louis XVI décida de soulager son peuple en le dispensant du droit de Joyeux avènement, impôt perçu à chaque changement de règne.
> > Louis XVI, créa le corps des pompiers.
> > Louis XVI, autorisa l’installation de pompes à feu, pour approvisionner Paris en eau de manière régulière.
> > Louis XVI, créa un mont-de-piété à Paris pour décourager l’usure et venir en aide aux petites gens.
> > Louis XVI, abandonna aux équipages de ses vaisseaux le tiers de la valeur des prises qui lui était réservé en temps de guerre.
> > Louis XVI, décida d’aider l’abbé de l’Epée dans son œuvre pour l’éducation des « sourds-muets sans fortune » auquel il enseignait un langage par signes de son invention. Le Roi lui versa alors une pension de 6000 livres sur sa propre cassette, contre l’avis de l’archevêché qui soupçonnait cet homme de jansénisme.
> > Louis XVI, dota l’école de Valentin HAUY pour les aveugles.
> > Louis XVI, donna l’ordre à ses commandants de vaisseaux de ne point inquiéter les pêcheurs Anglais et obtint la réciproque pour les pêcheurs Français.
> > Louis XVI, donna le droit aux femmes mariées et aux mineurs de toucher eux même leur pensions sans demander l’autorisation de leur mari ou tuteur.
> > Louis XVI, ordonna aux hôpitaux militaires de traiter les blessés ennemis « comme les propres sujets du Roi » 90 ans avant la 1ere convention de Genève !
> > Louis XVI, décida d’abolir le servage et la main morte dans le domaine royal et le droit de suite qui permettait aux seigneurs de faire poursuivre les serfs ou mainmortables qui quittaient leur domaine.
> > Louis XVI, ordonna l’abolition de la question préparatoire et préalable (torture)
> > Louis XVI, accorda le premier, le droit de vote aux femmes dans le cadre de l’élection des députés à l’assemblée des états généraux.
> > Louis XVI, décida de faire construire à ses frais, des infirmeries « claires et aérées » dans les prisons.
> > Louis XVI, s’inquiéta du sort qui était réservé aux prisonniers détenus en préventive de par leur inculpation, avant le procès. Par ailleurs, il décida de leur accorder une indemnité ainsi qu’un droit d’annonce dans le cas où leur innocence serait reconnue lors de leur procès (sujet d’une étonnante actualité) !
> > Louis XVI, supprima de très nombreuses charges de la maison de Roi (plus du tiers).
> > Louis XVI, permit aux femmes d’accéder à toutes les maîtrises.
> > Louis XVI, finança tous les aménagements, de l’hôtel-Dieu pour que chaque malades ait son propre lit individuel.
> > Louis XVI, employa le 1er, l’expression « Justice sociale ».
> > Louis XVI, fonda un hôpital pour les enfants atteints de maladies contagieuses, aujourd’hui nommé : « Hôpital des enfants malades »
> > Louis XVI, créa le Musé des Sciences et Techniques, futur Centre National des Arts et Métiers.
> > Louis XVI, fonda l’école des mines.
> > Louis XVI, finança sur ses propres fonds, les expériences d’aérostation des frères Montgolfier.
> > Louis XVI, finança également les expériences de Jouffroy pour l’adaptation de la machine à vapeur à la navigation.
> > Louis XVI, exempta les Juifs du péage corporel et autres droits humiliants.
> > Louis XVI, accorda sept millions aux victimes du froid excessif en 1784.
> > Louis XVI, accorda des pensions de retraites, à tous ceux qui exerçaient une profession maritime.
> > Louis XVI, demanda l’établissement annuel de la balance du commerce.
> > Louis XVI, créa le droit de propriété des auteurs et compositeurs de musique.
> > Louis XVI, accorda l’état-civil aux non-catholiques.
> > Louis XVI, créa l’Ecole de musique et de danse de l’Opéra de Paris et le musé du Louvre.
Envoyé par Jacques, merci à toi
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pourquoi dis t'on payer en liquide
19/02/2018 07:35
Lorsque une personne regle son achat en billets ou en pieces, on dit
Qu'il paye en liquide ou en especes, pourquoi
Au moyen age, on reglait ses achats en epices, et oui
Les marchands se reglaient les marchandises ainsi
Mais les plus pauvres n'avaient que leur bras
Especes vient du latin specie......epices
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Felix Faure
16/02/2018 06:32
16 février 1899
La mort heureuse de Félix Faure
Émotion à l'Élysée. Le président de la République est mort dans les bras de sa maîtresse. Cela s'est passé le 16 février 1899... Ce n'est pas de nos jours que l'on verrait des choses pareilles ;-))
La victime, Félix Faure, était un bel homme de 58 ans avec une fine moustache tournée à la façon de Guy de Maupassant.
Il a été élu à la présidence de la République par une coalition de modérés et de monarchistes le 17 janvier 1895 suite à la démission de Jean Casimir-Périer. Ses contemporains le surnommaient affectueusement le «Président Soleil»en raison de son amour du faste.
La rumeur publique crut d'abord que sa compagne des derniers instants était Cécile Sorel, une actrice célèbre du moment. On sut dix ans après qu'il s'agissait d'une demi-mondaine du nom de Marguerite Steinheil.
On prête à Georges Clemenceau le mot suivant : «Félix Faure est retourné au néant, il a dû se sentir chez lui».
Il est vrai que le président n'avait rien accompli de marquant même s'il possède aujourd'hui une belle avenue parisienne et une station de métro à son nom.
On retient seulement qu'il s'opposa à la révision du procès du capitaine juif Alfred Dreyfus, faussement accusé de trahison, et que son gouvernement dut céder aux Anglais le Soudan après le bras de fer de Fachoda.
Deux jours après sa mort, les députés et les sénateurs réunis en Congrès à Versailles élisent son successeur, Émile Loubet, connu pour être dreyfusard. Le nouveau président est aussitôt conspué aux cris de «Élu des Juifs !»
Quelques jours plus tard, pendant les funérailles de Félix Faure, le polémiste Paul Déroulède tente d'entraîner un général dans un coup d'État en vue de faire la guerre à l'Allemagne. Il est temporairement banniPublié ou mis à jour le : 2012-05-21 16:57:1
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histoire du drapeau Francais
15/02/2018 06:16
5 février 1794
Trois couleurs pour la France
Le 15 février 1794, la Convention décrète que « le pavillon sera formé des trois couleurs nationales disposées en trois bandes égales posées verticalement... » Le peintre David suggère que le bleu soit fixé à la hampe.
Ces règles destinées aux pavillons des navires s'appliquent dans la foulée à l'ensemble des emblèmes nationaux. Ainsi naît le drapeau bleu-blanc-rouge.
À chaque couleur son histoire
– La couleur rouge vient de ce que les rois de France, dans les heures de grand péril, brandissaient la bannière de Saint-Denis, rouge du sang du martyr. Cette tradition a été reprise par les Parisiens insurgés contre le roi Louis XVI, de sorte que le drapeau rouge est devenu le symbole mondial des luttes ouvrières !
– Le blanc est la couleur d'une écharpe que les chefs des armées et le roi en personne arboraient au combat, sous l'Ancien Régime, pour signaler leur grade. C'est seulement en 1815, sous la Restauration, qu'il est devenu le symbole de la monarchie.
– On repère le bleu dans les couleurs des bourgeois de Paris, au Moyen Âge, en association avec le rouge.
Les couleurs de la Nation
Le 17 juillet 1789, peu après la prise de la Bastille, Louis XVI est accueilli à l'Hôtel de Ville par une foule arborant une cocarde aux couleurs de Paris, le bleu et le rouge.
La Fayette remet au roi une cocarde semblable où il insère le blanc.
En 1848, après l'abdication de Louis-Philippe 1er, les républicains hésitent à conserver les trois couleurs et penchent pour le drapeau rouge.
Il faut toute l'éloquence d'Alphonse de Lamartine pour les conserver.
Le 26 février 1848, à l'Hôtel de ville de Paris, le poète (58 ans) s'adresse en ces termes aux socialistes : « ... le drapeau rouge, que vous-même rapportez, n'a jamais fait que le tour du Champ-de-Mars, traîné dans le sang du peuple en 1791 et 1793, et le drapeau tricolore a fait le tour du monde avec le nom, la gloire et la liberté de la patrie ».
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