L'origine réelle de cette fête est attestée au XIV e siècle dans la Grande-Bretagne encore catholique où le jour de la Saint-Valentin du 14 février était fêté comme une fête des amoureux car l'on pensait que les oiseaux choisissaient ce jour pour s'apparier.
Plein d'esprit et de raffinement, amoureux des plaisirs et du beau sexe, le prince Charles Maurice de Talleyrand-Périgord n'est pas seulement le parfait représentant de l'art de vivre aristocratique du XVIIIe siècle. C'est aussi un homme absolument cynique et corrompu, également d'une intelligence supérieure. Au demeurant le meilleur diplomate qu'a jamais eu la France ! Il a trahi tous les régimes qu'il a eu à servir mais jamais les intérêts supérieurs de l'État.
Évêque d'Autun en 1788 puis député aux états généraux, il propose à l'Assemblée nationale constituante de nationaliser les biens du clergé. Sous l'Empire, Talleyrand devient grand chambellan et prince de Bénévent.
Lors du congrès d'Erfurt, à l'automne 1808, il persuade le tsar de tenir tête à l'empereur et de ménager l'Autriche. En 1814, à Paris, il le convainc de restaurer les Bourbons sur le trône. Lui-même devient chef du gouvernement provisoire puis reprend la diplomatie comme ministre des affaires étrangères.
les jeux Olympiques de Vancouver en 2010 le 12 fevrier
12/02/2018 05:27
12 février 2010 : Les Jeux Olympiques d'hiver à Vancouver
Les premières compétitions sportives sur la neige ou la glace remontent à la fin du XIXe siècle.
L'ouverture des Jeux Olympiques d'hiver à Vancouver, le 12 février 2010, avec plus de 80 nations participantes, une centaine de disciplines et près de 3.000 athlètes, témoigne du chemin parcouru par ces disciplines...
Le 11 février 1858, près du village pyrénéen de Lourdes, une jeune femme serait apparue à Bernadette Soubirous, dans une grotte appelée Massabielle.
Selon ses dires, la petite bergère assista dans les semaines qui suivirent à plusieurs apparitions du même type. Au cours de l'une d'elles, la Dame lui confia (en gascon) : « Que soy era immaculada councepciou » (« Je suis l'Immaculée Conception », c'est-à-dire épargnée par le péché originel dès sa conception à la différence des autres humains). La bergère rapporta ces mots à son curé sans savoir que le pape Pie IX avait proclamé quatre ans plus tôt le dogme de l'Immaculée Conception à propos de Marie, la mère du Christ.
Les apparitions de la grotte miraculeuse stimulèrent la dévotion à Marie... et firent de Lourdes l'un des plus célèbres pèlerinages du monde.
10 février 1638 : Louis XIII consacre la France à la Vierge
Le 10 février 1638, alors que la reine Anne d'Autriche est enceinte pour la première fois après... 22 ans de mariage, le roi Louis XIII réalise son voeu de consacrer le royaume de France à la Vierge Marie. Il en sera pleinement récompensé puisque naîtra le 5 septembre suivant un garçon qui deviendra cinq ans plus tard Louis XIV.
10 février 1673 : Une ordonnance de Louis XIV étend le droit de régale
Le 10 février 1673, par une ordonnance signée à Saint-Germain-en-Laye, le roi Louis XIV décide d'étendre le « droit de régale » à l'ensemble du royaume.
Ce droit qui remonte au Moyen Âge permet au roi de percevoir les revenus des diocèses et des abbayes vacants en attendant qu'arrive un nouveau titulaire (« régale temporelle »). Il lui permet aussi de procéder aux nominations dans le diocèse ou l'abbaye en question « régale spirituelle ».
De nombreux évêchés du Midi échappaient jusque-là à ce droit et le pape Innocent XI s'irrite de la volonté du roi, ou plutôt de son ministre Colbert, de le leur appliquer. Il condamne fermement la régale universelle et le conflit va déboucher dix ans plus tard sur une exacerbation du gallicanisme avec la Déclaration des Quatre Articles
Le 9 février 1953, Henri Filipacchi, des éditions Hachette, publie à Paris les premiers titres d'une collection appelée à un grand avenir : Le Livre de Poche. Le n°1 est un roman de Pierre Benoît, Koenigsmark. Avec un prix trois ou quatre fois moindre que les livres conventionnels, les nouveaux livres au format de poche séduisent un public jeune et peu fortuné.
Déjà, en 1905, les éditions Jules Tallandier avaient commercialisé des livres sous l'appellation « livre de poche » mais il ne s'agissait encore que de littérature de gare (petits romans populaires). La véritable naissance du format de poche remonte à la création par Allen Lane, en 1935, en Angleterre, des éditions Penguin. Dans le domaine francophone, on peut citer la collection Marabout, créée à Verviers (Belgique) en 1948.
Après des études secondaires au lycée Blanche-de-Castille de Nantes1, elle se sent attirée vers l'art et histoire de l'art et s'inscrit à l'École du Louvre2. Elle prend son baptême de l'air à Grenoble à seize ans, sans conviction.
En février 1938, elle épouse Paul Auriol (1918-1992), fils de Vincent Auriol (futur président de la IV République)2. En 1947, elle s'occupe de la décoration de certaines pièces du palais de l'Élysée après l'élection de son beau-père. Ancien diplômé de l'école libre des sciences politiques, cadre dans l'électricité, Paul Auriol travaille auprès de son père pendant son mandat présidentiel comme secrétaire général adjoint de la présidence de la République (1947-1954). Il continue sa carrière comme contrôleur général à EDF et à partir de 1962 secrétaire général du comité national français de la conférence mondiale de l'énergie.
Par défi et par goût du sport, Jacqueline Auriol apprend à piloter sur un biplanStampe et obtient ses brevets, premier et second degrés, en 1948. L'aviation devient alors une passion et elle passe à la voltige aérienne pour se perfectionner.
Le
, elle est victime d'un terrible accident sur la Seine entre Meulan-en-Yvelines et Les Mureaux, alors qu'elle est copilote d'un prototype d'hydravion, un S.C.A.N. 30, construit par la Société de construction aéronavale. Lors de ce vol d'essai, l'appareil vola trop bas, et sa coque toucha l'eau brutalement. L'amphibie bascula, happé par l'eau, puis se retourna en ne laissant pas le temps à Paul Mingam, le pilote de la S.C.A.N., de réagir. Des trois passagers qui se trouvaient à bord (outre Mingam, il y avait aussi le PDG de S.C.A.N., Mr Guédon), Jacqueline Auriol fut la plus gravement blessée : elle a plusieurs fractures du crâne et est défigurée. Elle subit en deux ans une vingtaine d'interventions chirurgicales effectuées aux États-Unis3. Avec beaucoup d'obstination, elle se remet à piloter, passera ses brevets militaires, de vol à voile et d'hélicoptère.
Jacqueline Cochran, alors vice-présidente de la FAI, fait tout pour conserver son titre de "femme la plus rapide du monde", et annonce en mai 1955 que les records féminins seraient abolis le 1er juin de la même année ! Mais Jacqueline Auriol, très déterminée, reprend le record de vitesse avec 1 151 km/h sur Dassault Mystère IV le
, contraignant son « adversaire » à revenir sur sa décision5 !
Le 7 avril 1961, aux commandes du T-38A-30-NO Talon (serial number 60-0551) l'Américaine porte le record à 1 262 km/h.
Le
, Jacqueline Auriol porte le record (féminin) du 100 km en circuit fermé à 1 849 km/h sur Mirage III C puis le
à 2 038 km/h sur Mirage III R2. La société Dassault lui demande ensuite de réaliser des records sur l'avion d'affaires Mystère 206.
Une ultime fois, le 1er juin 1964, l'Américaine portera ce record encore plus haut avec 2 097 km/h sur F-104G7.
Une association des amis de Maryse Bastié fut formée, sous la présidence de l'aviatrice Jacqueline Auriol jusqu'à son décès.
Jacqueline Auriol a reçu quatre fois le Harmon Trophy, l'une des plus prestigieuses récompenses aéronautiques, en 1951, en 1952, en 1955 et en 1956, a été lauréate du Prix Roland Peugeot de l'Académie des sports du plus bel exploit mécanique français de l'année en 19638, déjà lauréate du prix Henri-Deutsch de la Meurthe de l'Académie des sports en 1951, récompensant un fait sportif pouvant entraîner un « progrès matériel, scientifique ou moral pour l’humanité. »
En 1966, Jacqueline Auriol bat un nouveau record entre la France et la Côte d'Ivoire. Une grande réception lui est réservée par le président Félix Houphouët-Boigny.
Henri Bergson né le 18.10.1859 à Paris, d'un père Juif Polonais
Grand philosophe
Il fit de brillantes etudes au lycée Condorcet......
Il reçut entre autre le prix nobel de litterature en 1928
Et entra à l'academie francaise en 1914
Il fut entre autre Maitre de conferences à l'Ecole Normale Superieure
Puis obtint la Chaire de philosophie Grecque et latine
Au college de France.........
Il put affirmer une dernière fois ses convictions à la fin de sa vie en renonçant à tous ses titres et honneurs plutôt que d’accepter l’exemption des lois antisémites imposées par le régime de Vichy. Bien que désirant se convertir au catholicisme, il y renonça par solidarité avec les autres Juifs. Marque de cette solidarité, plusieurs témoignages indiquent qu'il s'est fait porter par des proches jusqu'au commissariat de Passy, malgré sa maladie, afin de se faire recenser comme « israélite », alors qu'on l'en avait dispensé du fait de sa notoriété et qu'il avait rompu avec le judaïsme13. Théoriquement, il était cependant obligé de le faire, si ce n'était cette dispense, car les lois de Vichy ainsi que les ordonnances nazies définissaient (à Paris, la définition différait par exemple en Belgique) comme juive toute personne ayant au moins trois grands-parents de « race juive » ou ceux n'en ayant que deux mais étant mariés à un Juif ou une Juive14.
Il s'exprime ainsi en 1937 : « Mes réflexions m’ont amené de plus en plus près du catholicisme, où je vois l’achèvement complet du judaïsme. Je me serais converti, si je n’avais vu se préparer depuis des années (en grande partie, hélas ! par la faute d’un certain nombre de Juifs entièrement dépourvus de sens moral) la formidable vague d’antisémitisme qui va déferler sur le monde. J’ai voulu rester parmi ceux qui seront demain des persécutés. Mais j’espère qu’un prêtre catholique voudra bien, si le cardinal-archevêque de Paris l’y autorise, venir dire des prières à mes obsèques. Au cas où cette autorisation ne serait pas accordée, il faudrait s’adresser à un rabbin, mais sans lui cacher et sans cacher à personne mon adhésion morale au catholicisme, ainsi que le désir exprimé par moi d’abord d’avoir les prières d’un prêtre catholique. »15
à 81 ans. À la suite de sa demande, un prêtre catholique officie à son enterrement. Henri Bergson repose au cimetière de Garches, dans les Hauts-de-Seine.
Désiré Eugène Édouard Branly, né à Amiens le 23 octobre 1844 et mort à Paris le 24 mars 1940, est un physicien et médecin français. Il découvre le principe de la radioconduction et celui de la télémécanique. Il est l'un des précurseurs de la radio