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VIP-Blog de laloracorse2
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  • Créé le : 24/01/2009 20:02
    Modifié : 16/07/2025 19:09

    Fille (69 ans)
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    Ambroise Croizat

    07/07/2020 12:02

    Ambroise Croizat


    on oublie son nom et pourtant il a fait de grandes choses




    l esclavage au moyen age

    01/07/2020 18:28

    l esclavage au moyen age


    Un fructueux commerce

    À l'époque de Charlemagne et de ses successeurs, dans la première période du Moyen Âge, les guerriers francs mènent des combats sans relâche contre les tribus païennes installées sur l'Elbe ou au-delà. Après avoir soumis les Saxons de langue germanique, ils s'en prennent aux Slaves.

    Les prisonniers slaves alimentent en grand nombre un commerce actif entre Venise et l'empire arabe du sud de la Méditerranée. Ils rejoignent en premier lieu la place de Verdun, en Champagne, où ils sont systématiquement émasculés (!). Un quart environ d'entre eux ne survivent pas à cette brutale mutilation. Les autres gagnent Venise puis, de là, sont embarqués vers les ports orientaux.

    Les marchands vénitiens, bien que de religion chrétienne, ne voient pas d'objection à vendre des païens slaves aux musulmans. Venise conserve le souvenir de ce fructueux commerce dans le nom d'un quai célèbre à l'extrémité du Grand Canal : le quai des Esclavons (nom sous lequel étaient désignés à l'époque les Slaves). C'est l'époque où, dans les langues occidentales, le mot « esclave » ou « slave » se substitue au latin « servus » pour désigner les travailleurs privés de liberté.

    Ce trafic très particulier se tarit vers l'an 1100 du fait de la christianisation des Slaves.

    Une longue survivance

    L'Europe médiévale n'est pas elle-même exempte d'esclavage, toute chrétienne qu'elle soit.

    Aux premiers siècles du Moyen Âge, des esclaves sont employés dans les grandes propriétés agricoles, y compris dans les monastères. Ils sont le fruit de relations commerciales ou guerrières avec les régions périphériques de l'Europe (Slaves, musulmans...).

    L'Église, qui fixe les codes moraux de la société, ne trouve rien à redire à cet esclavage qui se distingue assez peu du servage. Elle exige simplement que les esclaves soient bien traités et baptisés.

    Les moeurs évoluent toutefois aux XIIe et XIIIe siècle du fait de la prospérité économique et de l'émancipation de la paysannerie. L'esclavage devient objet de scandale. Le roi de France Louis X le Hutin publie le 3 juillet 1315 un édit qui affirme que « selon le droit de nature, chacun doit naître franc ». Officiellement, depuis cette date, « le sol de France affranchit l'esclave qui le touche ».

    Dans les faits, la prohibition de l'esclavage connaît de nombreuses entorses dans les régions méditerranéennes qui entretiennent des relations commerciales avec les pays musulmans.

    Des esclaves s'activent dans les plantations spéculatives qui se développent au XVe siècle en Provence, au Portugal, en Espagne, en Italie ou encore à Chypre. Parmi eux, des milliers de Noirs achetés sur les marchés marocains et très prisés comme tout ce qui a un parfum d'exotisme. Certains de ces esclaves sont employés à des tâches domestiques. Ce sont généralement des femmes qui font office de servantes, de concubines et plus encore de nourrices.

    On n'a plus de traces de cet esclavage au XVIe siècle, sous la Renaissance, ce qui fait dire à Jean Bodin, dans Les Six Livres de la République, en 1576 : « Tout le monde est rempli d’esclaves, hormis un quartier de l’Europe ».

    Le servage

    Une autre forme de servitude est apparue en Occident au temps de Charlemagne et de ses successeurs : le servage.

    En ces premiers siècles du Moyen Âge, sous l'effet de l'insécurité et de l'affaiblissement du pouvoir central, les paysans sacrifient leur liberté en échange d'un lopin de terre et de la protection du principal guerrier du lieu, le seigneur. Ils sont attachés à leur lopin de terre, de père en fils, et n'ont pas le droit de le quitter ni de le vendre. De là le nom de « manants » qui leur est souvent donné (du latin manere, rester).

    En échange de la terre, ces paysans doivent verser à leur seigneur une redevance annuelle, généralement en nature (céréales...). Ils doivent aussi travailler une partie de l'année sur les terres qui appartiennent en propre à leur seigneur, la « réserve ». Si leur fille se marie à l'extérieur de la seigneurie, ils doivent verser une taxe spéciale, dite de « formariage » pour compenser la perte de revenu qui s'ensuit pour le seigneur. Enfin, à leur décès, ils doivent aussi payer une taxe dite de « mainmorte » pour pouvoir léguer leurs biens meubles (outils...) à leurs héritiers légitimes.

    Certains paysans, dépourvus de terre, sont sous l'entière dépendance du seigneur et travaillent sur sa réserve. C'est à eux que s'applique plus spécialement le qualificatif de serf (une déformation du mot latin servus, esclave). Ils peuvent recevoir du seigneur un lopin de terre en échange de leurs services. On parle alors de « serfs chasés ». À la différence des esclaves traditionnels, les serfs de l'époque carolingienne ne peuvent être vendus comme des meubles. Ils ont une existence juridique faite de droits et de contraintes.

    Au fil des générations, les seigneurs en manque d'argent relâchent leur emprise sur les paysans et les serfs. Ils leur cèdent la pleine propriété de leur terre, sans servitude d'aucune sorte, contre espèces sonnantes et trébuchantes, si bien qu'au XIIIe siècle, à l'époque du roi Saint Louis, le servage a déjà à peu près complètement disparu d'Europe occidentale (il survivra en Europe orientale et en particulier en Russie jusqu'au milieu du XIXe siècle).

     





    14 ans de bonheur

    30/06/2020 23:37

    14 ans de bonheur


    Leane ma petite fille a 14 ans....le temps est passe tres vite....trop vite....j ai l impression que c etait hier sa naaissance....un bebe bien rond....4kg 200 comme son papa.....




    Esclaves Irlandais

    29/06/2020 20:48

    Esclaves Irlandais


    es esclaves oubliés de l’histoire : la traite des Irlandais

    Traduction E&R

    Ils sont venus comme esclaves ; de vastes cargaisons humaines transportées sur de grands navires britanniques à destination des Amériques. Ils furent expédiés par centaines de milliers et inclurent des hommes, des femmes, et même les plus jeunes enfants. Lorsqu’ils se rebellaient ou même désobéissaient à un ordre, ils étaient punis de la pire des manières. Les esclavagistes pendaient leur propriétés humaines par les mains et mettaient le feu à leurs pieds ou à leurs mains en guise de punition. Ils étaient brulés vifs et leur tête était placée sur un pieux au marché comme avertissement pour les autres captifs. Nous n’avons pas besoin de détailler tous les détails sanguinaires, n’est-ce pas ? Nous connaissons tous trop bien les atrocités de la traite négrière. Mais parlons-nous de l’esclavage en Afrique ?

    Les rois James II et Charles Ier se sont aussi efforcés de manière continuelle à mettre en esclavage les Irlandais. Le célèbre britannique Oliver Cromwell perpétua cette pratique de déshumanisation de son voisin.

    Le commerce d’esclaves irlandais commença quand James II vendit 30 000 prisonniers irlandais comme esclaves au Nouveau Monde. Sa proclamation de 1625 ordonnait que les prisonniers politiques irlandais fussent envoyés outre-mer et vendus à des colons anglais des Caraïbes. Au milieu du XVIe siècle, les Irlandais étaient les principaux esclaves vendus à Antigua et à Montserrat. À cette époque, 70 % de la population totale de Montserrat était composée d’esclaves irlandais.

    L’Irlande devint rapidement la plus grande source de bétail humain pour les marchands anglais. La majorité des premiers esclaves du Nouveau Monde étaient en réalité des Blancs.

    De 1641 à 1652, plus de 500 000 Irlandais furent tués par les Anglais et encore 300 000 furent vendus comme esclaves. La population irlandaise chuta de 1,5 million à 600 000 en une seule décennie. Des familles entières furent déchirées car les Britanniques interdisaient aux pères irlandais de prendre avec eux femmes et enfants à l’autre bout de l’Atlantique. Ceci créa une population sans défense faite de femmes et d’enfants sans-abris. La solution britannique fut de les vendre aux enchères eux aussi.

    Durant les années 1650, plus de 100 000 enfants irlandais entre 10 et 14 ans furent arrachés à leurs parents et vendus comme esclaves dans les Caraïbes, en Virginie et en Nouvelle-Angleterre. Pendant cette décennie, 52 000 Irlandais (surtout des femmes et des enfants) furent vendus aux Barbades et en Virginie. 30 000 hommes et femmes irlandais furent aussi transportés et vendus au plus offrant. En 1656, Cromwell ordonna que 2 000 enfants irlandais soient emmenés en Jamaïque et vendus comme esclaves à des colons anglais.

    De nombreuses personnes aujourd’hui évitent de nommer les esclaves irlandais pour ce qu’ils étaient vraiment : des esclaves. Ils utilisent des termes tels que « serviteurs à contrat » pour décrire la condition des Irlandais. Cependant, dans la plupart des cas du XVIIe au XVIIIe siècle, les esclaves irlandais n’étaient ni plus ni moins que du bétail humain.

     

     

    Par exemple, le commerce d’esclaves africains venait juste de commencer durant cette même période. Il est bien établi que les esclaves africains, pas entachés de la théologie catholique alors méprisée et plus onéreux à acheter, étaient souvent bien mieux traités que les esclaves irlandais.

    Les esclaves africains étaient très coûteux à la fin des années 1600 (50 sterlings). Les esclaves irlandais étaient bon marché (pas plus de 5 sterlings). Si un planteur fouettait ou battait un esclave irlandais à mort, ce n’était jamais un crime. La mort d’un esclave était un revers financier, mais revenait bien moins cher que de tuer un africain plus onéreux. Les maîtres anglais commencèrent rapidement à se reproduire avec les femmes irlandaises autant pour leur plaisir personnel que pour augmenter leurs profits. Les enfants d’esclaves étaient eux-mêmes des esclaves, ce qui agrandissait la force de travail gratuite des maîtres esclavagistes. Même si une femme irlandaise devenait libre d’une quelconque manière, ses enfants restaient esclaves de son maître. En conséquence, les mères irlandaises, malgré cette émancipation fraîchement acquise, abandonnaient rarement leurs enfants et restaient en servitude.

    Avec le temps, les Anglais pensèrent à un meilleur moyen d’utiliser ces femmes (dans de nombreux cas, des filles jeunes de douze ans) pour augmenter leur part de marché : les colons commencèrent à faire se reproduire des femmes et des filles irlandaises avec des hommes africains pour produire des esclaves avec un teint distinct. Ces nouveaux esclaves « mulâtres » revenaient à un prix plus élevé que le bétail irlandais et, de même, permirent aux colons de faire des économies plutôt que d’acheter de nouveaux esclaves africains. Cette pratique consistant à croiser des femmes irlandaises et des hommes africains se prolongea sur plusieurs décennies et était si répandue que, en 1681, une loi fut votée « interdisant la reproduction de femmes esclaves irlandaises avec des hommes esclaves africains dans le but de produire des esclaves pour la vente ». En résumé, elle fut stoppée seulement parce qu’elle interférait avec les profits d’une grande compagnie de transport d’esclaves.

    L’Angleterre continua à expédier des dizaines de milliers d’esclaves irlandais sur plus d’un siècle. Les archives historiques montrent que, après la rébellion irlandaise de 1798, des milliers d’esclaves irlandais furent vendus en Amérique et en Australie. Il y eut des abus atroces faits sur des captifs autant africains qu’irlandais. Un navire britannique jeta même dans l’Atlantique 1 302 esclaves pour que l’équipage gardât ses réserves de nourriture.

    Il fait peu de doute que les Irlandais subirent les horreurs de l’esclavage autant (sinon plus au XVIIe siècle) que les Africains. Il fait aussi peu de doute que ces visages basanés que vous observez dans vos voyages aux Caraïbes sont très probablement un mélange d’ascendances africaine et irlandaise. En 1839, la Grande-Bretagne décida finalement seule de mettre fin à sa participation à la descente aux enfers satanique et arrêta le transport d’esclaves. Alors que cette décision n’empêcha pas les pirates de faire comme bon leur semblait, la nouvelle loi mit lentement fin à ce chapitre cauchemardesque de la misère irlandaise.

     

     

    Mais si quiconque, noir ou blanc, pense que l’esclavage fut seulement une expérience africaine, alors il a tout faux. L’esclavage irlandais est un sujet qui mérite qu’on le garde en mémoire, qu’on ne l’efface pas de nos esprits.

    Mais où sont nos écoles publiques (et privées) ? Où sont les livres d’histoire ? Pourquoi est-ce si rarement discuté ? La mémoire de centaines de milliers de victimes irlandaises ne mérite-t-elle pas plus que la mention d’un auteur inconnu ?

    Ou leur histoire deviendra-t-elle fidèle à ce que voulaient les pirates anglais : une histoire (contrairement au récit africain) irlandaise intégralement oubliée, comme si elle n’avait jamais existé.

    Aucune des victimes irlandaises ne put rentrer sur sa terre natale pour raconter son calvaire. Ce sont les esclaves perdus ; ceux que le temps et les livres d’histoire biaisés ont commodément oublié.

     






    26 juin 1945 fondation de l ONU

    26/06/2020 19:10

    26 juin 1945 fondation de l ONU


    51 etats membres fondent le 26 juin 1945 l'ONU

    Le conseil peut sanctionner les etats qui ne suivent pas les reglent

    Les casques bleus font partie de l'ONU






    Colbert

    25/06/2020 10:58

    Colbert


    Colbert aurait invente le code noir dans les années 1600

    ca parait tres tres loin, l esclavage existait deja et

    pour tous les peuples,

    Pourquoi taguer sa statue, traiter de negrophobie

    Trop facile en France, pourquoi les avfricains ne restent pas chez eu

    Construisent leur pays, et etre independant, 

    Colbert n'avait pas les infos comme maintenant






    Le code noir

    25/06/2020 10:42



    es buts du Code noir[modifier | modifier le code]

     
    Exemplaire du Code noir édité en 1742, musée d'histoire de Nantes.

    Dans un livre controversé29 d'analyse sur le Code noir de 1987, le spécialiste de la philosophie du droit Louis Sala-Molins affirme qu'il sert un double objectif : réaffirmer « la souveraineté de l'État dans les terres lointaines » et favoriser la culture de la canne à sucre. « En ce sens, le Code noir table sur une possible hégémonie sucrière de la France en Europe. Pour atteindre ce but, il faut prioritairement conditionner l'outil esclave »30.

    En matière religieuse, l'ordonnance de 1685 rappelle le principe chrétien de l'égalité ontologique de tous les hommes, par-delà leurs conditions sociales et leurs races. Elle prévoit donc le baptême, l'instruction et les mêmes pratiques et sacrements religieux pour les esclaves que pour les hommes libres, en excluant ce qui n'est pas catholique. De ce fait, les esclaves ont droit au repos du dimanche et des fêtes, la possibilité de se marier solennellement à l'église, d'être enterrés dans les cimetières, d'être instruits.

    Il donne une garantie de moralité à la noblesse catholique arrivée en Martinique entre 1673 et 1685[réf. nécessaire] : chevalier Charles François d'Angennes, marquis de Maintenon, son neveu Jean-Jacques Mithon de Senneville, l'intendant Jean-Baptiste PatouletCharles de Courbon, comte de Blénac, le capitaine de milice Antoine Cornette, ou Nicolas de Gabaret.

     






    la Corse avant

    20/06/2020 23:56

    la Corse avant


    Voyez la vie etait simple et rude






    Le petit garçon de la photo a 60 ans aujourd hui

    19/06/2020 20:15

    Le petit garçon de la photo a 60 ans aujourd hui


    Mon petit frere a 60 ans aujourd hui, que le temps passe vite

    Cette photo a été prise à Marseille il y a 55 ans

    Bon anniversaire Petit Frere Daniel et te voila Papi aussi

    D'une eptite Iris qui est trop mignonne






    l appel du 18 juin 1940.......pour rester libre

    18/06/2020 10:31

    l appel du 18 juin 1940.......pour rester libre







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