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VIP-Blog de laloracorse2
laloracorse2@hotmail.fr

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  • Créé le : 24/01/2009 20:02
    Modifié : 04/11/2025 09:38

    Fille (69 ans)
    Origine : aufildesmots
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    Avant le tracteur

    26/07/2021 23:21

    Avant le tracteur







    Bistro

    26/07/2021 23:21

    Bistro







    Dejeuner avant

    26/07/2021 23:20

    Dejeuner avant







    Avant

    26/07/2021 23:20

    Avant







    on ne parle que des massacres fait par les soldats francais et non le contraire, il y avait une autre solution que de massacrer ces civils francais

    05/07/2021 09:22

    on ne parle que des massacres fait par les soldats francais et non le contraire, il y avait une autre solution que de massacrer ces civils francais


    5 juillet 1962

    Le massacre d'Oran

    Le dernier épisode de la guerre d'Algérie a lieu à Oran le 5 juillet 1962, le jour même de la proclamation officielle de l'indépendance algérienne et deux jours après son indépendance effective.

    Cette grande ville de la côte occidentale (400 000 habitants) était la seule à majorité européenne pendant la période coloniale. De nombreux pieds-noirs y étaient encore présents au lendemain de l'indépendance. D'autres, fuyant le bled (la campagne), s'y étaient installés dans l'attente d'un hypothétique exode.

    Une ville sous tension

    Au lendemain des accords d'Évian du 19 mars 1962, des habitants d'Oran ont déjà gagné la métropole. Dans la ville, l'atmosphère est électrique. L'OAS (Organisation de l'Armée Secrète) multiplie les attentats contre les musulmans isolés,

    Du 1er juillet, date du vote de l’indépendance, jusqu’au 4, il y a en ville quelques défilés de voitures surchargées de musulmans, hommes et femmes hurlant des slogans et des you-you, plutôt bon enfant… Le 5 juillet 1962, la radio donne l'ordre aux habitants d’ouvrir les magasins, les bureaux et de reprendre le travail.

    Scène de rue à Oran le 5 juillet 1962Mais dès le matin, une foule déferle des quartiers arabes vers les quartiers européens, de la place Kargentah vers la Place d’Armes, « pour un défilé pacifique ». La plupart des manifestants n'en sont pas moins armés.

    À 11 heures, un coup de feu retentit sur la place d’Armes, un signal sans doute. Des cris jaillissent : « L’OAS, c’est l’OAS qui nous tire dessus ! »

    C'est le début d'un carnage : une chasse à l’Européen commence, sauvage, systématique, dans toute la ville.

    Les auxiliaires de l'armée algérienne, les ATO, emmènent les Européens prisonniers par longs cortèges vers le commissariat central où ils sont battus et tués, ou vers le Petit Lac, ou vers la Ville Nouvelle. Pourtant, dans cette folie sanguinaire, des musulmans sauvent des Européens, d’autres font délivrer des prisonniers.

    Le général Joseph Katz, qui commande les 18 000 soldats français encore à Oran, survole la ville à plusieurs reprises. Il téléphone au président Charles de Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre et demander l'autorisation d'intervenir. « Surtout, ne bougez pas ! » lui est-il répondu. Les soldats restent donc dans les casernes.

    La tuerie dure près de six heures. Lorsque, à 17 heures, les gendarmes français sortent enfin dans la rue, le calme revient aussitôt. Les cadavres jonchent la ville, on en trouve pendus aux crocs des bouchers, dans des poubelles...

    Le drame d'Oran va accélérer l'exode des pieds-noirs vers la métropole et mettre fin à l'espoir d'une cohabitation entre anciens colons et musulmans dans l'Algérie indépendante.

     
     

     






    30 juin 1764

    30/06/2021 13:26

    30 juin 1764


    Premiere attaque de cette bete du Gevaudan, etait ce un loup,






    29 juin 1966

    29/06/2021 20:43

    29 juin 1966


    premier raid sur Hanoi, ce qui declenchera la guerre du vietnam

    Triste guerre






    28 juin 1914

    28/06/2021 09:37

    28 juin 1914


    Le jour ou le monde a bascule dans l horreur

    L'assassinat du grand duc......à Sarajevo

    Qui va declencher la guerre.................






    blocus de Berlin 24 juin 1948

    24/06/2021 09:33

    blocus de Berlin 24 juin 1948


    Les russes bloquent Berlin Ouest occupé par les americains, les francais et les anglais, les russes veulent absolument cette partie de la ville mais c'est sans compter sur les allies qui vont faire un pont aerien pour nourrir la population, pendant les negociations qui dureront un an a peu pres.....






    Nelly Martil, un destin

    23/06/2021 20:24

    Nelly Martil, un destin


    Centenaire de la bataille de Verdun : 29 mai 2016

    A Paris, de nos jours, l’itinéraire quotidien d’un  jeune homme passe devant un bâtiment en briques rouges, rue de Belleville  et il finit par remarquer qu’il s’agit d’une crèche, où les parents confient leurs petits enfants.  Cet immeuble porte l’inscription  » Fondation Nelly Martil « . Il en parle à sa grand-mère qui elle-même se souvient d’un fait-divers, trente ans plus tôt, en 1943. Elle marchait avec sa mère dans une rue près du Trocadéro, et elles ont vu une femme ensanglantée gisant sur le trottoir. La petite-fille devenue grand-mère n’a pas oublié, d’autant que les journaux de l’époque ont publié des articles donnant le nom de cette femme, Nelly Martil, cantatrice à la beauté célèbre, devenue infirmière, se dévouant pendant la Première Guerre mondiale sur les champs de bataille, au péril de sa vie, et plusieurs fois décorée.

    Le narrateur plein de curiosité a envie de savoir si  cette femme est décédée de ses blessures. Il veut découvrir son parcours qui lui parait extraordinaire. Et il l’est !

    A force de recherches dans les diverses institutions, de recoupements, il finit par retracer sa carrière.

    Nelly Martin est née dans une famille modeste de Paris, son père étant gardien d’une école rue Martel à Paris, et déjà son talent était remarqué. Ses parents lui ont fait donner tous les cours dont elle avait besoin. Peu de temps après, le drame se produit, car Nelly perd son père, puis sa mère … L’orpheline est très rapidement sous la protection de Léopold Bellan,  qui  veut lui procurer toutes les chances.

    Elle peut réaliser son rêve,  réussit le concours d’entrée au Conservatoire, et en sort avec un premier prix de chant.

    Dans un album relié en rouge ( conservé à la Bibliothèque nationale de France), elle a collé toutes les coupures de presse qui prennent date dans sa carrière. Elle est de la Première d’  » Armide  » à l’Opéra de Paris, et après avoir dominé une petite cabale, des ennuis de santé, elle prend son essor, sous le regard bienveillant de Léopold Bellan et de son épouse.

    Puis elle est engagée à l’Opéra-Comique où elle connait ses grands succès. Avec son joli visage, sa silhouette élégante et fine, elle attire l’attention, et la voilà à la une des revues de l’époque,  » Comoedia « ,  » La Vie heureuse « ,  » La Mode Parisienne »…

    Il ne manquait  qu’un beau mariage  : elle épouse George Scott de Plagnolles, riche artiste renommé. La photo du mariage parait dans  » L’Illustration « , 12 juillet 1909. Elle continue sa brillante carrière, mais  tout à coup, remarque le narrateur, il n’y  a plus d’articles. Que s’est-il passé ? Mais la guerre  !

    Nelly a cessé de chanter pour devenir infirmière.  Un article du journal  » La Mode  » fait paraître son portrait et l’information en 1917, en mentionnant les artistes devenues infirmières de la Croix-Rouge  :

    « La gentille chanteuse de l’Opéra-Comique, elle,  n’a pas cru sa tâche suffisante  en soignant  les blessés à l’arrière; elle allait les chercher  près du front, sous les obus, sous la mitraille « .

    Très courageuse, donc. George Scott, son mari, peint les scènes de guerre comme on photographie, en prenant lui aussi tous les risques.

    Léopold et Clémence Bellan perdent sur le front le seul fils qui leur restait, Léo.  Ils décident alors de fonder des établissements destinés à recueillir des orphelins de guerre. C’est  un choc aussi pour Nelly, Madame Scott :  elle prend la décision d’obtenir son diplôme d’infirmière hospitalière et de partir pour le front.

    Bien des femmes ont fait leur devoir de cette façon, en France, et aussi en Grande- Bretagne ( dont Agatha Christie  ! ) …

    Quant à Nelly Marty Scott, son dossier militaire au Val-de-Grâce prend la suite des comptes-rendus  artistiques et mondains. Infirmière-major, elle est caporal, puis sergent,  décorée de la Croix de guerre avec étoile  de vermeil, toujours avec citations, remarquant qu’elle soigne, et chante aussi pour relever le moral des troupes  …  Verdun, le Chemin des Dames, le terrible gaz moutarde dont elle fut elle-même victime.

    Sa mission continua après la guerre : elle soigne les prisonniers de guerre rapatriés d’Allemagne, elle lutte contre  l’ épidémie de grippe espagnole, que, fatiguée,  elle contracte aussi. Elle en guérit à grand peine.

    Elle continua à chanter mais moins souvent qu’avant la guerre, et le nombre des coupures de presse se réduit. Mais  » L’Illustration  » montre  Nelly souriante posant en infirmière devant sa Fondation, rue Martel, en 1929.

    Et le fait-divers, la blessure dans la rue ? Nelly a perdu son mari, et  elle a noué une liaison  avec un  chef d’orchestre, Gustave Cloëtz  … marié  … et c’est sa femme qui a attaqué Nelly au marteau.

    Le narrateur s’est aussi rendu au cimetière où sont inhumés Nelly et George Scott à Paris.

    Les étapes et lieux  de ses recherches  entrecoupent  des pans de la vie de Nelly, au fur et à mesure de ses découvertes. Il relate aussi des épisodes de la Première guerre mondiale, de témoignages de soldats.

    La biographie romancée et vivante est enrichie de photographies, de documents. L’illustration de couverture reprend fidèlement une photo de la cantatrice- infirmière – héroïne de la grande guerre, et aussi d’un crime passionnel  (  avec le minimum de précisions, puisque le livre s’adresse à de jeunes lecteurs !).

     






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