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VIP-Blog de laloracorse2
laloracorse2@hotmail.fr

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  • Créé le : 24/01/2009 20:02
    Modifié : 01/08/2025 21:27

    Fille (69 ans)
    Origine : aufildesmots
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    LE REVEIL DES OISEAUX

    08/07/2009 18:31

    LE REVEIL DES OISEAUX


                                       LE REVEIL DES OISEAUX

    Le soleil s éveillait, l arbre plein chantait,

    il ruisselait de chants comme,

     une grappe de raisin qu on presse,

     entre ses doigts.

    Gerard le pinson, Gaty la mouette,

    Sheirine la rouge gorge et la grise

    Brigitte la fauvette qui babille, et

    Toucan mon compère

    Celui que je préfère parce que rien

    ne lui fait, ni le froid, ni le vent, ni la pluie

    et que toujours, il rit, toujours de bonne humeur

    le premier à chanter dès l aube et le dernier,

     et parce  qu il a comme moi le nez enlumine.

    Ah les bons petits gars de quel coeur,

    ils braillaient .....

    Aux terreurs de la nuit ils venaient d échapper.

    La nuit, grosse de pièges qui chaque soir,

    descend sur eux comme un filet.

    Ausitot que s ouvre le rideau de la nuit

    Dès que le rire pale de l aurore lointaine

    commence à ranimer le visage glacé

    et les lèvres blanches de la vie.

    De quels cris, mes amis, de quels transports

    d amour, ils célèbrent le jour,

    tout ce qu on a souffert

    Ce qu on a redoute, l épouvante muette et

     le sommeil glacé, la nuit

    tout est oublie

    O jour,

    O jour nouveau

    Toucan continuait de siffler

    sur la terre accroupie, je sifflai comme lui

    Le coucou jouait a cache cache

     au fond de la foret








    REVERIE

    08/07/2009 18:50

                        REVERIE


                                                 REVERIE

              Le soir, avant de me coucher

              Je tourne la tete, vers cette colline

              Derriere il y a la mer.

              Des que le soleil se couche

              Un reflet jaune et rouge

              Se pose sur cette eau bleue

              Il n y aura dans une heure

              Qu une étendue d eau grise

              Dans la nuit sombre....

         








    LE VENT

    08/07/2009 18:39

                      LE VENT


                                                   LE VENT

    Qui a vu le vent,

    Ni vous,

    Ni moi,

    Mais quand les feuilles frissonnent

    Quand les jupes se soulevent

    Quand les cheveux s emmelent

    Le vent est passé par là

    Qui a vu le vent,

    Ni vous,

    Ni moi,

    Mais quand les parapluies se retournent

    Quand la fumée rase les toits

    Quand les arbres s inclinent

    Le vent est passé par là.








    RENTREE DES FOINS

    05/07/2009 08:19

    RENTREE DES FOINS


                                       RENTREE DES FOINS

    Le vent du nord ouest souffla trois jours de suite, fort et continu,

    assurant une période de temps sans pluie.

    Les faux avaient ete aiguisées longtemps d avance,

     et les cinq hommes

    se mirent à l ouvrage le matin du troisieme jour.

    Vers le soir, tous les cinq prirent des fourches et

     firent les veilloches, hautes et bien tassees,

     en prevision d une saute de vente possible.

     Mais le temps resta beau.

    Cinq jours durant ils continuerent, balançant,

     tout le jour leurs faux de droite à gauche,

    avec un grand geste ample.

    Les mouches les harcelaient de leurs piqures :

     le soleil ardent leur brulait la nuque

     et les gouttes de sueur leur brulaient les yeux ;

    la fatigue de leur dos toujours plies devenait telle,

     vers le soir, qu ils ne se redressaient

    qu' avec des grimaces de peine.

    Mais en cinq jours tout le foin fut coupe et

     ils commençèrent au matin du sixieme jour,

     à ouvrir et retourner les veilloches,

     qu ils voulaient grangé

    avant le soir

    Ce fut le tour des fourches.

    Elles étalèrent le foin au soleil,

     puis vers la fin de l apres midi,

     quand il eut seche,

     elles l'amoncelerent de nouveau,

     en tas de la grosseur exacte qu un homme,

     peut soulever en une seule fois,

     au niveau d une haute charette

    Charles Eugene tirait vaillamment,

     entre les brancards la charrette,

     s engouffrait dans la grange, s arretait,

     et les fourches s enfoncaient ,

    une fois de plus dans le foin durement foulé,

     qu  elles enlevaient sous l effort des poignets

     et des reins et dechargeaient au cote

    A la fin de la semaine tout le foin

     etait dans la grange sec et d une belle

    couleur, et les hommes s étirerent et

     respirent longuement comme,

     ils sortaient d une bataille.

    LOUIS HEMON      MARIA CHAPDELAINE








    poeme en creole pour marie

    04/07/2009 13:09

    poeme en creole pour marie


    la mer ene zour

    ene kamarad

    ki plis conten reve ki existe

    se raconte mwa beaute

    ma douce epousee

    aveck so la mains

    ki kuwa bann versets

    pe berce mo la tete

    bann zenfants lala pe galoupe

    kuma dire deux ti zakos

    taler mo pou all lir

    philosophie poesie roman

    enfin mo pas trop conne

    mais mo pou lire

    caler mo pou alle nazer

    mo le corps dans lilo soleil

    et peut etre ki la mer

    prend mwa

    et peut etre ki la mer

    avale mwa

    mo bizin alle

    ca bonheur la trop fort

    petite marie a toi de traduire sourires








    LA RONDE DU MOULIN

    03/07/2009 12:31

    LA RONDE DU MOULIN


                                             LA RONDE DU MOULIN

    Pour moi, j ai le coeur tout en tete

    Tant que la meule moud son grain

    Imitez, o ma chansonnette,

    Les bruits de mon joli moulin

    Tantot, j écoutais sa clochette

    Tinter, un tin- tin argentin,

    Imitez, O, ma chansonnette

    Les bruits de mon joli moulin

    J ai ce tapage dans la tete :

    Tic tac, pan- pan, tan- tan, tin- tin !

    Et j ai fait une chansonnette

    Des bruits de mon joli moulin.






    DANSE

    03/07/2009 06:13

                                        DANSE


                                                       DANSE

    Danse, danse sous les pommiers

                 Petite, danse

    Il vaut mieux danser que rever

                 Petite, Danse

    Danse, danse sous le lilas,

                 Petite, danse

    Eleve les fleurs en tes bras

                 Petite, Danse

    Danse, danse sous le soleil

                 Petite, Danse...

    Ton ame est bleue comme le ciel

                 Petite, danse

    Danse, danse sur la prairie,

                  Petite, danse

    L herbe est neuve comme ta vie

                  Petite, danse !

         dediee a mes deux adorables petites filles

             






    A PARIS EN SOULIERS GRIS

    01/07/2009 23:14

    A PARIS EN SOULIERS GRIS


    Pour visiter Paris, j ai mis mes souliers gris,

    Un parisien m a dit :

    Suivez bien les trottoirs, si vous ne voulez pas vous faire écraser !

    C est qu en effet, les autobus roulaient, les tramways roulaient,

    Les voitures roulaient, roulaient, roulaient.........

    Je susivais bien les trottoirs, mais toujours aux croisements des rues,

    Il n etait pas facile de passer.

    J ai traverse quand meme tout Paris en suivant la Seine.

    Puis je suis alle au Bois de Boulogne.

    Mais un Parisien m a dit

    Vous userez vos souliers gris.

    Montez dans un tramway !J ai monté dans un tramway pour aller

    Au palais du Louvre, puis j ai pris un bus pour voir Notre Dame.

    Puis je suis monté ans un taxi et je suis alle au jardin des plantes.

    Et j etais content d aller vite tout en menageant mes souliers gris

    Et un Parisien m a dit:

    Vous iriez plus vite si vous prenez le métro

    Quest ce que le métro ?

    C est le chemin de fer Metropolitain, ne levez pas le nez

    Ce n est pas en l air que vous le trouverez,

    Descendez sous terre

    Je suis descendu sous terre, et là en effet,

     j ai monté dans un wagon du métro

    Il y avait avec moi beaucoup de voyageurs qui

    Allaient a leur travail, jamais je n aurai cru qu il y avait

    Autant de monde sous terre à Paris

    Je suis allé du nord au sud et de l est a l ouest plus de dix fois,

    Sans m en douter, je suis passé sous la Seine

    C est ainsi que j ai visite Paris sans user mes souliers gris

    Ernest Perochon








    LE VACHER

    01/07/2009 11:57

    LE VACHER


                                                                  LE VACHER

    Sur la rive gauche de l Oise,

    s étendait une grande pature communale

     " la prairie"

    Le matin, la corne du vacher

    retentissait en haut du village.

    Il descendait. Devant, chaque porte,

    Les betes prenaient place dans le troupeau nonchalant.

    Un chien courait, à droite et à gauche,

    Aboyant aux jarrets des vaches,

    si elles s écartaient pour brouter l herbe

    sur les bas cotes de la rue villageoise.

    Le troupeau passait la rivière a gué.

    Arrivé dans la prairie, tout entier il baissait la tete

    Et les langues lampaient l herbe,

    Et les naseaux humaient la terre nourricière.

    Le vacher demeurait la tout le jour.

    Les églises de trois villages voisins

    Lui disaient l heure

    Erloy sonnait l angélus à onze heures et demi

    Et saint Algis à midi.

    Au soleil couchant, le vacher et son chien,

    Rassemblaient leurs betes.

    Le troupeau, ramene à la rivière, la repassait.

    Il remontait le village.

    A chaque porte, les vaches de la maison se détachaient,

    Sans que le berger leur dit rien, ni que le chien non plus

    Et elles regagnaient leurs étables

    Pour y dormir jusqu a l aube du lendemain.








    la chanson du grelet

    01/07/2009 09:01

    la chanson du grelet


    Cri, cri, cri, cri,

    Tout est fleuri :

    Les pissenlits, les aubepines ;

    Cri, cri, cri, cri,

    Tout est fleuri,

    L herbe pousse au flanc des collines.

    Le pauvre petit grelet,

    Noir et laid,

    Qui chante sa bucolique

    A dit au bon paysan

    En passant

    Ecoute mon chant rustique

    Je suis l ame du printemps

    Par les champs

    Je rode le coeur en fete

    J aime la fleur, l arbrisseau

    Et l oiseau,

    Car je suis un peu poete

    Et je chante dans la nuit

    Ou sans bruit

    Passent des vols de chouette

    Et quand je rentre au matin,

    Mon refrain

    Reveille les alouettes.

    Cri, cri, cri, cri,

    Tout est fleuri

    Les pissenlits, les aubepines

    Cri, cri, cri,

    Tout est fleuri

    L herbe pousse au flanc des collines.

    AUGUSTE GAUD








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