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5 novembre 1922
05/11/2018 13:56
Howard carter decouvre le tombeau de Toutankhamon
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Les Etangs de Commelle
05/11/2018 13:42
Une jolie balade à faire pres de Senlis, les etangs de Commelles
Trois grands lacs separés par des petits chemins
Des lacs ou etangs poissonneux et ou les oiseaux s'y plaisent
Des canards bien sur, des cygnes, des cormorans, des poules d'eau
Et d'autres comme des herons........
Pour les poissons, il y a des carpes c'est sur mais aussi des brochets
Et d'autres.........

Quand nous faisons le tour des etangs nous marchons plus de 8 km
Sans nous en rendre compte, nous ne sommes pas les seuls
Sur cette balade, des personnes de tous les ages..........

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1 novembre 1954
01/11/2018 15:29
1er novembre 1954
«Toussaint rouge» en Algérie
Le 1er novembre 1954, en Algérie, des indépendantistes commettent plusieurs dizaines d'attentats, dont certains meurtriers. C'est la « Toussaint rouge », à l'origine de la guerre d'indépendance de l'Algérie.
Ces événements surviennent dans une Algérie française découpée en plusieurs départements mais profondément divisée entre :
– 8 millions de musulmans qui ont un statut d'indigène et relèvent du droit coranique coutumier,
– près d'un million de citoyens français : immigrants de la métropole et du bassin méditerranéen, juifs locaux naturalisés en 1870, musulmans en très petit nombre ayant renoncé à leur statut coranique.
Un soulèvement peu médiatique
Quelques mois plus tôt, en Indochine, les Français ont été défaits par le Vietminh. Quelques indépendantistes algériens y voient un encouragement à se lancer à leur tour dans la lutte armée contre la puissance coloniale, bien qu'ils soient en très petit nombre (quelques centaines au plus) et presque totalement dépourvus d'armes. Ils forment au printemps 1954 un Comité révolutionnaire d'union et d'action (CRUA) et choisissent la date du 1er novembre pour déclencher l'insurrection. Une trentaine d'attentats plus ou moins désordonnés ont lieu en ce jour de la Toussaint : récoltes incendiées, gendarmerie bombardée...
On compte au total dix morts. Les deux premières victimes, assassinées la veille de la Toussaint, sont deux Français d'Algérie : un chauffeur de taxi de confession juive, Georges-Samuel Azoulay et Laurent François, libéré depuis 6 mois du service militaire. Les autres victimes sont l'agent forestier François Braun, l'agent de police Haroun Ahmed Ben Amar et quatre appelés : le soldat Pierre Audat et le brigadier-chef Eugène Cochet, tués en pleine nuit dans le poste de Batna, dans le massif des Aurès, ainsi qu'André Marquet et le lieutenant Darneaud. Sont également tués le caïd Ben Hadj Sadok et Guy Monnerot, qui voyageaient ensemble.
La mort de ce dernier émeut plus particulièrement l'opinion. Ce jeune instituteur est venu de la métropole avec son épouse pour instruire les enfants du bled. Leur autocar est attaqué dans les gorges de Tighanimine. Ils sont extraits du véhicule ainsi que les autres passagers et touchés par une rafale de mitrailleuse destinée au caïd Hadj Sadok.
Guy Monnerot succombe sur le champ mais sa femme Jeanine survivra à ses blessures. Les meurtriers des deux Français auraient enfreint l'ordre de ne tuer que le caïd, membre de l'élite musulmane francophile. Ils auraient été plus tard sanctionnés par leurs chefs.
En définitive, les attentats de la « Toussaint rouge » ont très peu de retentissement dans l'opinion française et la presse métropolitaine en fait à peine écho. Ils n'en marquent pas moins le début de la guerre d'Algérie, huit années de tourments qui ont marqué durablement les esprits et les coeurs des deux côtés de la Méditerannée
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La toussaint
01/11/2018 14:20
Ce n est pas la fete des disparus mais une fete religieuse pour feter tous les saints
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Indira Gandhi
31/10/2018 14:12
31 octobre 1984 : Assassinat d'Indira Gandhi
Le 31 octobre 1984, Indira Gandhi, Premier ministre de l'Union indienne, est assassinée par ses propres gardes du corps, des Sikhs ralliés à la cause indépendantiste...

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Henri Dunant cofondateur de la Croix Rouge
30/10/2018 05:21
l'occasion d'un voyage d'affaires, Henri Dunant visite en juin 1859 le champ de bataille de Solferino. Ce banquier genevois de 31 ans s'indigne alors du sort fait aux blessés et organise de premiers secours.
De retour à Genève, il lance un appel à l'opinion européenne dans un livre intitulé : Un souvenir de Solferino. Lui-même s'entretient avec l'empereur Napoléon III.
Avec quatre amis genevois, il crée le 17 juillet 1863 une organisation internationale et neutre destinée à secourir les victimes de guerre, le Comité International de la Croix-Rouge (CICR). Son nom lui vient de son symbole, le drapeau de la Suisse inversé, soit une croix rouge sur fond blanc.
Le comité réunit le 26 octobre 1863 une conférence internationale qui aboutit le 22 août 1864 à la signature de la première Convention de Genève «pour l'amélioration du sort des militaires blessés dans les armées en campagne».
La suite est plus triste. Ruiné en 1867 par de mauvaises affaires en Algérie, Henry Dunant est chassé de la Croix-Rouge et renié par ses anciens amis. En 1895, alors que chacun l'a oublié et le croit mort, un journaliste recueille et publie ses souvenirs.
Le voilà si brusquement réhabilité qu'il reçoit en 1901 le premier Prix Nobel de la Paix. Meurtri, il ne daigne pas aller le chercher et s'éteint quelques années plus tard dans la solitude et une relative pauvreté.
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naissance du magazine pilote
29/10/2018 05:06
29 octobre 1959
Astérix s'éclate
Le 29 octobre 1959 paraît le numéro 1 de l'hebdomadaire Pilote (« Polite, quel journal ! »). Le magazine est créé par François Clouteaux, né à Nantes en 1920, chrétien convaincu et ancien résistant. Les 300 000 exemplaires sont immédiatement vendus.

La bande dessinée acquiert ses lettres de noblesse
Dans les pages intérieures du N°1, les jeunes Français découvrent des héros appelés à un grand avenir : Tanguy et Laverdure, Barbe-Rouge et surtout un petit personnage à grosses moustaches : Astérix. Le petit Gaulois est une création du scénariste René Goscinny (il mourra en 1977) et de son compère, le dessinateur Albert Uderzo. Il a lui-même un merveilleux ami en la personne d'Obélix.
Les deux créateurs sont tout sauf franchouillards. Uderzo, fils d'immigrés italiens, né en 1927 dans la Marne, s'est formé à Bruxelles. Fait curieux pour un dessinateur : il est daltonien, autrement dit ne discerne pas bien certaines couleurs.
Goscinny, d'origine polonaise, est né à Paris en 1926 mais a passé sa jeunesse en Argentine et en Uruguay avant de tenter sa chance comme dessinateur à New York. C'est finalement comme scénariste qu'il va épanouir ses talents, d'abord en peaufinant le personnage de Lucky Luke, créé par le dessinateur Morris, puis en créant avec Sempé le personnage du petit Nicolas.
Goscinny et Uderzo commencent à travailler ensemble dans la discrétion dès 1952 au sein du magazine féminin Bonnes soirées. La célébrité leur vient, rapide, avec Pilote, Astérix et Obélix.

Le triomphe d'Astérix et d'Obélix
Dans les quarante années qui suivront, les deux Gaulois vont vivre pas moins de 30 aventures et compteront plus de trois cents millions de lecteurs de par le monde.
En mars 1963, l'hebdomadaire Pilote est repris par l'éditeur Georges Dargaud. René Goscinny prend la direction de la rédaction de l'hebdomadaire la même année et introduit de nouveaux héros au menu : Achille Talon, le Grand Duduche, Blueberry.
Le succès de Pilote et d'Astérix marque l'entrée en fanfare des Français dans le monde feutré de la bande dessinée, jusque-là dominé par les créateurs d'Outre-Quiévrain (Hergé et compagnie).
Rappelons que trente ans plus tôt, le 10 janvier 1929, le dessinateur Georges Rémi (Hergé) avait publié les premières aventures de Tintin, remarquable témoin de son temps.
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28 octobre 1940 un peuple qui resiste
28/10/2018 03:54
28 octobre 1940 : Le Grec Metaxàs répond « Ochi » à Mussolini
Le 28 octobre 1940, le Premier ministre Ioannis Metaxàs répond fermement « Ochi » (« non ») à un ultimatum du dictateur italien Mussolini qui le somme de laisser ses troupes entrer dans son pays.
Le petit royaume grec est aussitôt envahi par les troupes italiennes qui occupent déjà l'Albanie voisine. À la surprise générale, les Grecs résistent avec une âpreté étonnante à l'invasion et parviennent à repousser les Italiens...
Le général Ioánnis Metaxás, né à Ithaque le 12 avril 1871 et mort le 29 janvier 1941 à Athènes, est un militaire et homme politique grec. Il fut Premier ministre du Royaume de Grèce de 1936 à sa mort, durant la période de dictature appelée régime du 4-Août.
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un 26 ocotbre il y a longtemps la Convention
26/10/2018 04:40
Le 26 octobre 1795, la Convention cède la place au Directoire. Par ce changement de régime, les conventionnels modérés, ou Thermidoriens, qui ont renversé Robespierre le 9 thermidor an II (27 juillet 1794) veulent signifier la fin de la Terreur et de la Révolution.
Ils décrètent une amnistie générale, abolissent toutes les poursuites judiciaires « portant sur des faits purement relatifs à la Révolution » et élargissent les détenus politiques à l'exclusion de ceux qui ont participé à l'insurrection royaliste de Vendémiaire, trois semaines plus tôt.
Symboliquement, la place de la Révolution, ci-devant place Louis XV, change son nom pour celui de place de la Concorde. C'est encore le nom que porte ce haut lieu de Paris où fut installée la guillotine sous la Terreur.
Une nouvelle Constitution
Les députés votent la Constitution du 5 Fructidor de l'an III (22 août 1795) qui sépare très strictement les pouvoirs législatif (la confection des lois) et exécutif (l'exécution des lois et le gouvernement du pays).
– Le pouvoir législatif :
Il est confié à un Corps législatif constitué de deux assemblées : le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens, au nombre de 250, ainsi nommés parce qu'ils doivent avoir plus de 40 ans.
Les Cinq-Cents doivent se contenter de faire des propositions de lois. Les Anciens votent sur ces propositions pour les transformer en lois. Les deux assemblées sont destinées à se neutraliser l'une l'autre et à éviter le retour de la dictature comme à l'époque de la Convention montagnarde. Elles sont renouvelables par tiers tous les ans.
– Le pouvoir exécutif :
Il est confié à un Directoire de cinq membres âgés d'au moins 40 ans. Chaque année, l'un d'eux est changé par tirage au sort ! Les Directeurs sont désignés par les Anciens sur une liste de dix candidats proposés par les Cinq-Cents. Ils n'ont aucun pouvoir sur les assemblées.
Les premiers Directeurs sont Paul Barras, Jean-François Reubell, Louis-Marie de La Révellière-Lépeaux, Lazare Carnot et Étienne-François Le Tourneur (les trois premiers assument la réalité du pouvoir ; Barras seul conservera sa fonction pendant toute la durée du régime).
Des électeurs sous contrôle
Le mode d'élection du Corps législatif ne relève que de très loin des règles démocratiques usuelles :
À la base, dans les cantons, les hommes de plus de 21ans qui paient un impôt élisent un électeur pour 200 citoyens. Ces électeurs doivent avoir 25 ans et justifier d'un revenu conséquent. C'est à eux qu'il appartient de désigner :
- les futurs membres des assemblées ainsi que les juges des tribunaux civils.
- le Président du Tribunal criminel et les membres du Tribunal de Cassation.
- les membres des administrations départementales.
Pour se garantir contre les colères de la population parisienne, les Thermidoriens enlèvent à la capitale son maire unique et le remplacent par un conseil de cinq membres. Ils divisent qui plus est le territoire parisien en huit municipalités, ancêtres des futurs arrondissements.
Enfin, les Thermidoriens, soucieux de préserver leurs acquis et de se prémunir contre l'émergence d'une majorité de députés royalistes, décident par un décret complémentaire que les 2/3 des futurs députés devront être choisis parmi les anciens conventionnels !
Ces dispositions très peu démocratiques sont destinées à établir le pouvoir sans partage des parvenus issus des troubles révolutionnaires. Elles valent au futur régime l'opposition résolue des royalistes et des Jacobins.
Incroyables et Merveilleuses
La fin de la Terreur se traduit dans les moeurs par une réaction exubérante aux excès de la Révolution : la jeunesse bourgeoise se pavane dans des tenues excentriques et particulièrement déshabillées en ce qui concerne les femmes ! Sur les boulevards parisiens, on voit ainsi se pavaner ceux qui se qualifient d'« incroyables » et de « merveilleuses ».
Une œuvre colossale
Dans les cinq années qui séparent la chute de Robespierre du coup d'État de Napoléon Bonaparte, les Thermidoriens de la Convention et du Directoire accomplissent une oeuvre colossale à l'intérieur.
L'argent ne rentrant plus dans les caisses de l'État et les assignats étant à bout de souffle, le ministre des Finances Ramel de Nogaret décrète la « banqueroute des deux tiers » le 30 septembre 1797 puis instaure un nouvel impôt qui a l'avantage d'être aisé à établir : l'impôt sur les portes et les fenêtres (il durera jusqu'en 1926).
Malgré les désordres civils (misère effroyable, inégalités abyssales, monnaie-papier sans valeur, administration démunie, regain de criminalité...) ainsi que les faiblesses inhérentes à sa Constitution et à l'extrême vénalité de ses représentants, le Directoire trouve moyen de :
– réformer la société : égalité devant la loi, suffrage universel, liberté de la presse, de croyance et de pensée, suppression des corporations, abolition de l'esclavage, droit au divorce,
– réformer le gouvernement : suppression des droits féodaux, séparation des pouvoirs, de l'Église et de l'État,
– réformer l'éducation : école publique, Écoles Normale Supérieure et Polytechnique,
– et même fonder un nouveau système d'unités de mesure.
Le Directoire envoie par ailleurs une délégation en Inde, auprès du sultan de Mysore, ennemi des Anglais, et des corps expéditionnaires en Irlande (Hoche, Humbert) et en Égypte !
Le régime va néanmoins très vite sombrer, victime de l'impopularité, d'une part en raison des désordres civils et d'une crise économique qui frappe l'ensemble de l'Europe et la France plus que tout, d'autre part en raison de son incapacité à faire face à une deuxième coalition militaire contre la France.
Les défis extérieurs du Directoire
Depuis la formation en 1793 d'une première coalition européenne, la France révolutionnaire avait dû lutter contre l'ensemble des monarchies alliées sous la bannière du Royaume-Uni, de l'Autriche et de la Russie.
D'une part l'idéologie véhiculée par les gouvernements républicains paraît dangereusement subversive aux souverains étrangers, d'autre part les ambitions territoriales de la France sont inacceptables pour les autres puissances d'Europe.
Sous le régime antérieur de la Convention, les ressources rassemblées par Lazare Carnot, l'« organisateur de la victoire », combinées à l'enthousiasme des volontaires de l'an II, avaient permis des succès militaires impressionnants.
La République française avait accédé ainsi à ses «frontières naturelles» sur les Alpes et le Rhin par absorption de la Savoie, les Pays-Bas espagnols (la Belgique) et la Rhénanie. Désireuse de conserver les gains territoriaux de la Révolution, la Convention avait voté l'annexion de la Belgique avant de se séparer. Cette mesure avait été aussitôt ressentie comme une provocation par les Anglais.
Le Directoire détache l'Autriche de son alliance avec l'Angleterre en lui imposant en octobre 1797 le traité de Campoformio. Il met fin à la première coalition et tente de consolider les conquêtes de la Révolution en établissant un glacis de républiques-soeurs dans tous les azimuts (Batave, Cispadane et Transpadane puis Cisalpine, Cisrhénane, bientôt Romaine, Parthénopéenne et Helvétique...).
Mais ces succès liguent à nouveau contre la France un nombre considérable d'ennemis intérieurs et extérieurs.
Plus grave encore, l'incroyable expédition d'Égypte entreprise au printemps 1798 éloigne des forces précieuses et les meilleurs généraux de la République, mais surtout, elle indispose deux nouvelles puissances majeures que la France n'avait jamais eu à combattre : la Sublime Porte (l'empire turc) et l'empire du nouveau tsar Paul Ier.
La diplomatie et les subsides britanniques (la «cavalerie de Saint-Georges») aboutissent début 1798 à une deuxième coalition. Celle-ci réunit l'Empire ottoman, ceux d'Autriche et de Russie, les royaumes de Bavière, des Deux Siciles, du Portugal, de Suède et les États Pontificaux, mais elle consacre la défection des royaumes d'Espagne, de Hanovre, de Saxe et de Prusse.
C'est ainsi que la première République Française se trouve confrontée à la guerre étrangère sur tous les fronts, à l'émigration des cadres aristocratiques, à la révolte intérieure (Bretagne, Vendée, Midi, Corse) et extérieure (rébellion à Saint-Domingue) et à la faillite économique.
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Nigaude et Malicette
25/10/2018 03:57
Premiere BD pour les filles pas jeune mais ce que j ai remarqué
c'est l adresse de la maison d edition, je travaillais juste en face
date de parution 1931........Maman n etait pas née


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