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VIP-Blog de laloracorse2
laloracorse2@hotmail.fr

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  • Créé le : 24/01/2009 20:02
    Modifié : 16/07/2025 19:09

    Fille (69 ans)
    Origine : aufildesmots
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    28 octobre 1940 un peuple qui resiste

    28/10/2018 03:54

    28 octobre 1940 un peuple qui resiste


    28 octobre 1940 : Le Grec Metaxàs répond « Ochi » à Mussolini

    Le 28 octobre 1940, le Premier ministre Ioannis Metaxàs répond fermement « Ochi » (« non ») à un ultimatum du dictateur italien Mussolini qui le somme de laisser ses troupes entrer dans son pays.

    Le petit royaume grec est aussitôt envahi par les troupes italiennes qui occupent déjà l'Albanie voisine. À la surprise générale, les Grecs résistent avec une âpreté étonnante à l'invasion et parviennent à repousser les Italiens...

     

    Le général Ioánnis Metaxás, né à Ithaque le 12 avril 1871 et mort le 29 janvier 1941 à Athènes, est un militaire et homme politique grec. Il fut Premier ministre du Royaume de Grèce de 1936 à sa mort, durant la période de dictature appelée régime du 4-Août. 






    un 26 ocotbre il y a longtemps la Convention

    26/10/2018 04:40

    un 26 ocotbre il y a longtemps la Convention


    Le 26 octobre 1795, la Convention cède la place au Directoire. Par ce changement de régime, les conventionnels modérés, ou Thermidoriens, qui ont renversé Robespierre le 9 thermidor an II (27 juillet 1794) veulent signifier la fin de la Terreur et de la Révolution.

    Ils décrètent une amnistie générale, abolissent toutes les poursuites judiciaires « portant sur des faits purement relatifs à la Révolution » et élargissent les détenus politiques à l'exclusion de ceux qui ont participé à l'insurrection royaliste de Vendémiaire, trois semaines plus tôt.

    Symboliquement, la place de la Révolution, ci-devant place Louis XV, change son nom pour celui de place de la Concorde. C'est encore le nom que porte ce haut lieu de Paris où fut installée la guillotine sous la Terreur.

    Une nouvelle Constitution

    Les députés votent la Constitution du 5 Fructidor de l'an III (22 août 1795) qui sépare très strictement les pouvoirs législatif (la confection des lois) et exécutif (l'exécution des lois et le gouvernement du pays).

    – Le pouvoir législatif :

    Il est confié à un Corps législatif constitué de deux assemblées : le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens, au nombre de 250, ainsi nommés parce qu'ils doivent avoir plus de 40 ans.

    Les Cinq-Cents doivent se contenter de faire des propositions de lois. Les Anciens votent sur ces propositions pour les transformer en lois. Les deux assemblées sont destinées à se neutraliser l'une l'autre et à éviter le retour de la dictature comme à l'époque de la Convention montagnarde. Elles sont renouvelables par tiers tous les ans.

    – Le pouvoir exécutif :

    Il est confié à un Directoire de cinq membres âgés d'au moins 40 ans. Chaque année, l'un d'eux est changé par tirage au sort ! Les Directeurs sont désignés par les Anciens sur une liste de dix candidats proposés par les Cinq-Cents. Ils n'ont aucun pouvoir sur les assemblées.

    Les premiers Directeurs sont Paul Barras, Jean-François Reubell, Louis-Marie de La Révellière-Lépeaux, Lazare Carnot et Étienne-François Le Tourneur (les trois premiers assument la réalité du pouvoir ; Barras seul conservera sa fonction pendant toute la durée du régime).

    Des électeurs sous contrôle

    Le mode d'élection du Corps législatif ne relève que de très loin des règles démocratiques usuelles :

    À la base, dans les cantons, les hommes de plus de 21ans qui paient un impôt élisent un électeur pour 200 citoyens. Ces électeurs doivent avoir 25 ans et justifier d'un revenu conséquent. C'est à eux qu'il appartient de désigner :
    - les futurs membres des assemblées ainsi que les juges des tribunaux civils.
    - le Président du Tribunal criminel et les membres du Tribunal de Cassation.
    - les membres des administrations départementales.

    Pour se garantir contre les colères de la population parisienne, les Thermidoriens enlèvent à la capitale son maire unique et le remplacent par un conseil de cinq membres. Ils divisent qui plus est le territoire parisien en huit municipalités, ancêtres des futurs arrondissements.

    Enfin, les Thermidoriens, soucieux de préserver leurs acquis et de se prémunir contre l'émergence d'une majorité de députés royalistes, décident par un décret complémentaire que les 2/3 des futurs députés devront être choisis parmi les anciens conventionnels !

    Ces dispositions très peu démocratiques sont destinées à établir le pouvoir sans partage des parvenus issus des troubles révolutionnaires. Elles valent au futur régime l'opposition résolue des royalistes et des Jacobins.

    Incroyables et Merveilleuses

    La fin de la Terreur se traduit dans les moeurs par une réaction exubérante aux excès de la Révolution : la jeunesse bourgeoise se pavane dans des tenues excentriques et particulièrement déshabillées en ce qui concerne les femmes ! Sur les boulevards parisiens, on voit ainsi se pavaner ceux qui se qualifient d'« incroyables » et de « merveilleuses ».

    Une œuvre colossale

    Dans les cinq années qui séparent la chute de Robespierre du coup d'État de Napoléon Bonaparte, les Thermidoriens de la Convention et du Directoire accomplissent une oeuvre colossale à l'intérieur.

    L'argent ne rentrant plus dans les caisses de l'État et les assignats étant à bout de souffle, le ministre des Finances Ramel de Nogaret décrète la « banqueroute des deux tiers » le 30 septembre 1797 puis instaure un nouvel impôt qui a l'avantage d'être aisé à établir : l'impôt sur les portes et les fenêtres (il durera jusqu'en 1926).

    Malgré les désordres civils (misère effroyable, inégalités abyssales, monnaie-papier sans valeur, administration démunie, regain de criminalité...) ainsi que les faiblesses inhérentes à sa Constitution et à l'extrême vénalité de ses représentants, le Directoire trouve moyen de :
    – réformer la société : égalité devant la loi, suffrage universel, liberté de la presse, de croyance et de pensée, suppression des corporations, abolition de l'esclavage, droit au divorce,
    – réformer le gouvernement : suppression des droits féodaux, séparation des pouvoirs, de l'Église et de l'État,
    – réformer l'éducation : école publique, Écoles Normale Supérieure et Polytechnique,
    – et même fonder un nouveau système d'unités de mesure.

    Le Directoire envoie par ailleurs une délégation en Inde, auprès du sultan de Mysore, ennemi des Anglais, et des corps expéditionnaires en Irlande (Hoche, Humbert) et en Égypte !

    Le régime va néanmoins très vite sombrer, victime de l'impopularité, d'une part en raison des désordres civils et d'une crise économique qui frappe l'ensemble de l'Europe et  la France plus que tout, d'autre part en raison de son incapacité à faire face à une deuxième coalition militaire contre la France.

    Les défis extérieurs du Directoire

    Depuis la formation en 1793 d'une première coalition européenne, la France révolutionnaire avait dû lutter contre l'ensemble des monarchies alliées sous la bannière du Royaume-Uni, de l'Autriche et de la Russie.

    D'une part l'idéologie véhiculée par les gouvernements républicains paraît dangereusement subversive aux souverains étrangers, d'autre part les ambitions territoriales de la France sont inacceptables pour les autres puissances d'Europe.

    Sous le régime antérieur de la Convention, les ressources rassemblées par Lazare Carnot, l'« organisateur de la victoire », combinées à l'enthousiasme des volontaires de l'an II, avaient permis des succès militaires impressionnants.

    La République française avait accédé ainsi à ses «frontières naturelles» sur les Alpes et le Rhin par absorption de la Savoie, les Pays-Bas espagnols (la Belgique) et la Rhénanie. Désireuse de conserver les gains territoriaux de la Révolution, la Convention avait voté l'annexion de la Belgique avant de se séparer. Cette mesure avait été aussitôt ressentie comme une provocation par les Anglais.

    Le Directoire détache l'Autriche de son alliance avec l'Angleterre en lui imposant en octobre 1797 le traité de Campoformio. Il met fin à la première coalition et tente de consolider les conquêtes de la Révolution en établissant un glacis de républiques-soeurs dans tous les azimuts (Batave, Cispadane et Transpadane puis Cisalpine, Cisrhénane, bientôt Romaine, Parthénopéenne et Helvétique...).

    Mais ces succès liguent à nouveau contre la France un nombre considérable d'ennemis intérieurs et extérieurs.

    Plus grave encore, l'incroyable expédition d'Égypte entreprise au printemps 1798 éloigne des forces précieuses et les meilleurs généraux de la République, mais surtout, elle indispose deux nouvelles puissances majeures que la France n'avait jamais eu à combattre : la Sublime Porte (l'empire turc) et l'empire du nouveau tsar Paul Ier.

    La diplomatie et les subsides britanniques (la «cavalerie de Saint-Georges») aboutissent début 1798 à une deuxième coalition. Celle-ci réunit l'Empire ottoman, ceux d'Autriche et de Russie, les royaumes de Bavière, des Deux Siciles, du Portugal, de Suède et les États Pontificaux, mais elle consacre la défection des royaumes d'Espagne, de Hanovre, de Saxe et de Prusse.

    C'est ainsi que la première République Française se trouve confrontée à la guerre étrangère sur tous les fronts, à l'émigration des cadres aristocratiques, à la révolte intérieure (Bretagne, Vendée, Midi, Corse) et extérieure (rébellion à Saint-Domingue) et à la faillite économique.

     

     






    Nigaude et Malicette

    25/10/2018 03:57

    Nigaude et  Malicette


    Premiere BD pour les filles pas jeune mais ce que j ai remarqué

    c'est l adresse de la maison d edition, je travaillais juste en face

    date de parution 1931........Maman n etait pas née

     

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    Ce chateau

    24/10/2018 12:02

    Ce chateau







    Bertillon

    24/10/2018 03:25

    Bertillon


    Chef du service de l'identité judiciaire à la préfecture de police de Paris où il est entré en 1879, à 26 ans, comme simple commis, Alphonse Bertillon a fondé l'anthropométrie, un système de classement des photos sur la base de onze caractères fondamentaux (taille du crâne, des membres...).

    Grâce à la  « signalisation » systématique des criminels et délinquants, l'inventeur aboutit à quelques succès dans l'identification des récidivistes et lui vaut une immense popularité. L'opinion publique en vient même à le comparer à Pasteur. Son classement anthropométrique est parfois encore appelé « bertillonnage » en son honneur.

    Mais le système anthropométrique demeure aléatoire. Il est bientôt concurrencé par la comparaison des empreintes digitales, une technique mise au point aux Indes britanniques et adoptée par Scotland Yard en 1901, à l'initiative du commissaire Edward Henry.

    Alphonse Bertillon est d'abord tenté de nier l'intérêt de cette technique concurrente, anglaise qui plus est. Mais, sollicité après un meurtre qui a eu lieu chez un dentiste parisien, il met en évidence les similitudes entre les empreintes digitales recueillies sur place et celles d'un obscur repris de justice auquel il a eu affaire quelques mois plus tôt.

    Ce premier coup d'éclat de la police scientifique consacre la gloire de Bertillon... et la supériorité du fichier d'empreintes digitales.

    Alban Dignat
    Mauvaise foi

    On ne saurait oublier aussi qu'Alphonse Bertillon s'est empêtré en 1894 dans l'analyse graphologique du bordereau qui allait entraîner l'incarcération du capitaine Dreyfus.

    Ayant cru reconnaître l'écriture du capitaine, contre l'avis des autres graphologues, il s'est enferré dans son erreur en émettant une fumeuse théorie sur la façon dont l'inculpé aurait tenté de maquiller son écriture. Ce faux pas n'a pas pour autant entamé sa popularité.

     

     






    Pont remy

    24/10/2018 02:04

    Pont remy







    mon petit fils a 6 ans

    22/10/2018 05:06

    mon petit fils a 6 ans


     

    Tu ressembles tellement à ton papa mais tu es toi mon cher

    Un petit garçon plein de vie, qi aime le foot, la bagarre, sourires

    Déjà independant qui sait ce qu'il veut ou ce qu'il ne veut pas

    Tu me fais penser aussi par ton caractere et ta grande stature

    A ton oncle Julien, je t'aime tres fort petit homme






    17 octobre sa naissance

    17/10/2018 06:37

    17 octobre sa naissance


    Héritier des Lumières et de Jean-Jacques Rousseau, Claude-Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon, compte parmi les grands utopistes du XIXe siècle. Petit-cousin du mémorialiste de Louis XIV, il s'enrichit en spéculant sur les biens nationaux puis sombre dans le dénuement.

    À travers de nombreux ouvrages, dont Le Nouveau Christianisme (1825), il se présente comme le prophète d'une nouvelle religion fondée sur la fraternité et la foi dans le progrès et l'industrie. Dans le premier numéro de sa revue L'Organisateur (1819), il publie une célèbre parabole, dans laquelle il oppose l'utilité sociale des producteurs et des savants à l'inutilité des dirigeants politiques, religieux et militaires...

    Le saint-simonisme va exercer une influence profonde sur l'élite française du Second Empire. Il séduit l'historien Augustin Thierry et le philosophe Auguste Comte, fondateur du positivisme (tous les deux furent les secrétaires de Saint-Simon), les banquiers Jacob et Isaac Pereire, qui organisent le crédit en France, le polytechnicien Michel Chevalier, rédacteur du traité de libre-échange de 1860, Prosper Enfantin, un autre polytechnicien, qui convainc le diplomate Ferdinand de Lesseps de l'intérêt ducanal de Suez, etc.






    tiens tiens un ancetre

    16/10/2018 11:57

    tiens tiens un ancetre







    une porte ancienne

    15/10/2018 13:18

    une porte  ancienne







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