Des catéchines comme dans le thé, du lycopène comme dans la tomate, des caroténoïdes comme dans la carotte… Grâce à ce cocktail de nutriments, la consommation hebdomadaire d’une papaye diminue les risques de développer un cancer de l’utérus chez les femmes atteintes par le papillomavirus.
Bien la consommer : séchée, fraîche ou fermentée, elle se déguste de différentes manières. Mais c’est fraîche ou fermentée que sa chair sera le plus concentrée en nutriments.