La lumiere d'or traverse en oblique
Les arbres decharnes battus par el vent
Et laisse au sol la trace des squelettes
L'Automne avale la lumiere du jour
Dispersée par els gouttes de pluie
Et recrache quelques morceaux de ciel
Entre deux langueurs de brume
L'Automne aspire la seve seche
Des derniers feux de joie
Et soupire longtemps le spor
Pour toute la douleur du Monde
texte trouve sur le net (j'ai aimé)