Comme un diable au fond de sa boite
Le bourgeon s'est tenu caché
Mais dans sa prison trop etroite,
Il baille et voudrait respirer
Il entend des chants, des bruits d ailes
Il a soif de grand jour et d'air
Il voudrait savoir les nouvelles
Il fait craquer son corset vert
Puis d'un geste brusque, il dechire
Son habit etroit et trop court
Enfin se dit il, je respire
Je vis, je suis libre
Bonjour.....
Paul Geraldy