Un tribunal allemand a autorisé lundi la remise à la Belgique d’un diplomate iranien. Celui-ci est soupçonné d’être impliqué dans un projet d’attentat qui visait en France, au début de l’été, un rassemblement des Moudjahidine du peuple iranien, un groupe d’opposition iranienne banni par Téhéran.
Le 30 juin, 25 000 personnes s’étaient rendues à Villepinte (Seine-Saint-Denis), près de Paris, parmi lesquelles deux personnalités proches du président américain Donald Trump : l’ancien président de la Chambre des représentants Newt Gingrich et l’ex-maire de New York Rudy Giuliani.
Demi-kilo d’explosif
Le jour même, un couple de Belges d’origine iranienne avait été arrêté non loin de Bruxelles. Dans leur véhicule, les unités spéciales de la police avaient découvert environ 500 g de TATP, un puissant explosif, ainsi qu’un mécanisme de mise à feu caché dans une petite trousse de toilette.
D’autres suspects avaient ensuite été interpellés en Allemagne, en Belgique et en France. Le diplomate iranien, en poste en Autriche, en fait partie. Il est présenté par des opposants iraniens comme étant Assadollah Assadi, 46 ans.
Les mosquées de villepinte sont pas très nettes, faut stopper
Ces appels à la violence, avez vous le clip contre les blancs
Ca ne gene pas, ces paroles haineuses contre des bb blancs
Ces appels